mardi 19 août 2025
Sur mon chemin...
lundi 18 août 2025
Sur mon chemin...
Le 18 août des randonneurs ont pique niqué sur l'aire du Walbrunnen. Ils ont déplacé une table pour être à l'ombre. La moindre des choses, c'est de la remettre à la bonne place quand on repart.
dimanche 17 août 2025
C’est bientôt la cuisson du Quetscheschlaeggel
Tous les ans, en septembre le Club “Les Aînés” d’Ormersviller", présidé par Patrick Vergnaud, organise la cuisson du Quetcheschlaeggel.
Les membres du club de Football aident à remuer le
Quetscheschlaeggel
La cuisson des quetsches se fera la première semaine de septembre du mardi 2 au jeudi 4 septembre sans s’arrêter. Le dénoyautage des 900 kg de quetsches sera réalisé durant la journée par une quinzaine de personnes. Puis une équipe plusieurs hommes se relaieront nuit et jour pour remuer la cuisson dans des chaudrons de cuivre dans un local de la salle socioculturelle. Une troisième équipe mettra le Schlaeggel dans des bocaux et collera les étiquettes.
Vente du Schlaeggel
Les amateurs de cette délicieuse marmelade pourront s’en procurer auprès de trois membres. Les commandes se feront de préférence avant le mardi 2 septembre auprès de trois membres du club : Marie Mathilde Schwartz 4, rue d’Epping Tél. 03 87 96 70 07, Monique Vogel, 12, rue de Selven au 03 87 96 78 01 et Patrick Vergnaud 1, rue de Volmunster au 03 87 96 75 02 ou au 06 04 43 30. Le pot de schlaeggel de 500 g est vendu à 5 €. La récupération et la vente des pots sont programmées le vendredi 5 et samedi 6 septembre.
J.A.S.
Sur mon chemin....
Photo JAS
Assis sur un banc, je vois une feuille morte tomber tout doucement d'un peuplier. A un mètre du sol, elle s'arrête. Je vais voir de plus près et je constate qu'elle était attachée à un fil d'araignée.
samedi 16 août 2025
Toujours la grande affluence au pèlerinage de l’Assomption
Malgré la chaleur annoncée, les pèlerins sont venus d’Allemagne, d’Alsace et de Lorraine pour assister
la messe solennelle de l’Assomption de la Vierge Marie concélébrée par le curé David Meyer, l’abbé Jean-Paul Wey et le diacre Bernard Dillenschneider. La chorale Saint-PIerre, dirigée par Jean-Marie Langbour et l’orchestre Celtica Harpaca dirigée par Dominique Oberhauser ont animé la messe.
La plupart des pèlerins étaient dehors à l'ombre pour assister
Un pèlerinage créé en 1980
Il faut rappeler que ce pèlerinage a été lancé en 1980 par l’abbé Paul Jung et repris par l’abbé. Marcel Rostoucher en 1982. Depuis tous les jours des pèlerins vont s’y ressourcer. Pour l’abbé Gérard Henner, la colline sur laquelle est construite la chapelle Saint-Joseph est « une colline inspirée ». « Ils sont toujours aussi nombreux à participer à ce pèlerinage de l’Assomption. Il est vrai que les individuels en semaine sont également nombreux à se rendre à la chapelle pour y prier ou méditer" nous a expliqué Marie Mathilde Andrès, responsable de la chapelle Saint-Joseph. Comme toujours, de très nombreux pèlerins ont partagé le repas sous le chapiteau et à l’extérieur à l’ombre de la chapelle et des arbres. D’autres se sont contentés de grillades ou ont pique-niqué.
Beaucoup de personnes originaires d’Ormersviller ont profité de cette grande fête pour se revoir et se rencontrer.
Le rôle important des Amis de la chapelle
De nombreux bénévoles des Amis de la chapelle Saint-Joseph, présidée par Gilbert Zahm, ont assuré toute la logistique avec beaucoup de savoir faire et ont servi de nombreux repas dans un temps record, soit sous le chapiteau ou à l’extérieur. Grâce à l’immense parking aménagé par la mairie, toutes les voitures ont trouvé une place.
De plus, l’association dont le maire Marcel Vogel est membre, collabore avec la commune pour entretenir la chapelle et la grande aire de pique-nique avec sa table d’orientation.
Joseph Antoine Sprunck
Sur mon chemin...
Les pèlerins étaient très nombreux à la Chapelle Saint-Joseph lors de la messe malgré la chaleur.
vendredi 15 août 2025
Le message du Père François
Dans l’évangile de ce jour, Jésus dit : « Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! » Je pense que ce n’est pas le moment de parler de feu, la France suffoque avec la chaleur, la menace des incendies s'intensifie. Après l'Aude, ravagée par le pire feu depuis des décennies avec 17.000 hectares détruits en six jours, la prudence est plus que jamais de mise. Oui, halte au feu ! Ce n’est pas de ce feu là que Jésus nous parle ce matin.
Il faut se rappeler que tout au long de l’histoire sainte, le symbole du feu a toujours tenu une grande place. Rappelons-nous Moïse devant le buisson ardent. C’est là qu’il prend conscience de la mission que Dieu lui propose : sauver son peuple de l’esclavage. Déjà ici Dieu apparaît comme un Dieu de libération. Il y aussi le prophète Elie qui est emporté sur un char de feu nous dit la Bible.
Dans le même sens nous voyons aussi les langues de feu descendre sur les apôtres, le jour de la Pentecôte, lorsqu’ils sont envoyés de par le monde. Par ces langues de feu, chacun des apôtres est envoyé pour annoncer la bonne nouvelle d’un Dieu plein d’attention pour son peuple et qui invite à travailler ensemble à la libération des petits et des opprimés.
Moïse comme les apôtres seront très souvent confrontés à la réaction d’un peuple, qui préfère l’esclavage à la reprise en main de sa propre destinée.
Ce n’est sûrement pas plus facile aujourd’hui pour celui qui veut suivre Jésus. L’évangile nous dit aujourd’hui, que vivre en chrétien, c’est oser accepter les différences et faire la vérité en même temps, grâce au dialogue.
Il n’est pas facile en effet de résister à la mode, de ne pas penser comme tout le monde, de prendre ses distances par rapport à la mentalité générale.
Il est beaucoup plus difficile de parler de partage que de rendement, de douceur que de violence. Il n’est pas facile de parler de prière, de recueillement dans le brouhaha de nos villes - ou de pardon, là où il y a de la haine - du don de soi, devant l’égoïsme et l’indifférence.
Pour être chrétien, se démarquer face à l’opinion générale, il faut un véritable feu intérieur appelé qui s’appelle « Amour ». En effet, « être chrétien », c’est risquer de passer pour un naïf ou pour un fou. C’est accepter que certains se moquent de ce qui nous tient le plus à cœur.
Il est plus facile de suivre le troupeau, d’obéir sans réfléchir, et de laisser d’autres prendre des décisions à notre place. C’est aussi malsain, que de signer un chèque en blanc. Il est plus facile de se laisser entraîner par le mouvement de la masse et de se laisser manipuler comme des pantins.
Or tous, tels que nous sommes, nous choisissons bien souvent et adoptons facilement les comportements les moins dérangeants, qui ne demandent aucune réflexion et remise en question.
Et ce 3 août dernier, vous ne pensez pas que ces
500 000 jeunes venus de 146 pays étaient animés également d’un feu d’amour pour dire au pape Léon leurs aspirations d’un monde meilleur basé sur l’amitié, la justice et la paix. Maria du Mexique a posé la question au pape : « comment trouver une amitié sincère et un amour authentique qui nous ouvrent à la véritable espérance ? Comment la foi peut-elle nous aider à construire notre
avenir ? » Au vol, le pape a répondu « l’amitié est un chemin pour la paix. » Il a également souligné sa grande préoccupation de l’embrigadement des jeunes dans l’évasion de la drogue et des sectes.
Or nous savons que le propre d’une secte, c’est de faire perdre à ses membres toute personnalité. Ceux-ci doivent se laisser modeler. Il leur suffit pour cela d’obéir, d’adhérer à la pensée du gourou. Il faut avouer que certaines communautés d’Église se laissent aussi entraîner par cette tentation de dominer les consciences.
Cette façon de faire est totalement contraire aux Écritures et au message de Jésus. Jésus vient comme un libérateur pour que chaque femme, chaque homme, puissent devenir eux-mêmes, quelle que soit la pression extérieure provoquée par les médias, la mode, la publicité, les mœurs nouvelles. Toutes ces formes d’esclavage et de dépendance risquent de nous enchaîner à notre insu.
Être chrétien, c’est être un peu révolutionnaire, c’est savoir ramer à contre-courant, c’est acquérir avec l’aide de Dieu et de la communauté, une personnalité sans cesse plus forte, plus libre et plus humaine. C’est cet amour « brûlant » qui nous transforme en vrai disciple du Christ.
Prière Universelle
1.- Au temps du prophète Jérémie, pour ne pas l’entendre, on le jette dans une citerne ; Aujourd’hui, pour ne pas entendre certaines réalités, on tue les journalistes ou on se contente de quelques « vérités alternatives » sur les réseaux sociaux. Seigneur, nous te prions pour les journalistes. Donne-leur le courage de continuer à nous informer. Donne-nous aussi la volonté de les soutenir en nous informant.
2.- La canicule fait surtout souffrir les plus faibles et les plus pauvres.
Seigneur, que nos cœurs restent attentifs aux personnes qui sont particulièrement touchées par ces grosses chaleurs. En ce temps de vacances, garde-nous d’oublier nos familiers et nos voisins les plus faibles. Prions le Seigneur.
3.-Étrange Évangile où Jésus, « Prince de la paix » nous dit qu’il apporte la division entre les personnes. Seigneur, donne à nos dirigeants le courage de bâtir une paix qui ne soit pas fondées sur la domination par le plus fort où sur la sauvegarde de leur biseness. Qu’au niveau des États, comme dans nos relations personnelles nous bâtissions des paix justes et respectueuses de tous. Prions le Seigneur.
François, prêtre retraité
La plante du pied
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La marche en pleine nature
jeudi 14 août 2025
La citadelle de Bitche
Citadelle de Bitche en 1683
Les travaux de fortification à partir de 1683 par Vauban durent jusu'en 1765.Les travaux sont assurés par Cormontaigne, qui rénove les casernes, les bâtiments pour les officiers du génie et le gouverneur, les magasins pour l'artillerie et la poudre, les corps de garde et la défense des glacis. De 1755 à 1760 a lieu la construction de l'ouvrage avancé et en 1765 l'aménagement de l'esplanade au pied du glacis. C'est ainsi qu'elle est devenue une des plus fortes places de France. Elle sera à nouveau endommagée en 1870 puis en 1944-1945 par l'artillerie américaine.
Message du Père François.
Évangile de Jésus Christ selon St Luc 1 39–56
« En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée. Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth. Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint, et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni. D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »
Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. »Marie resta avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle. »
« Tu es bénie entre toutes les femmes… »
Ce cri de joie de sa cousine Elisabeth exprime tout ce que peut apporter une rencontre de confiance et de partage. Ni Marie, ni Elisabeth n’avaient osé espérer un tel bonheur. Le fait de se rencontrer, leur donne l’occasion d’exprimer librement ce qu’elles ressentent de l’action de Dieu en elles. Avec les paroles de la Bible, l’une et l’autre expriment la nouveauté de leur vie enrichie par Dieu. Marie ne fait que reprendre à son compte l’admiration du peuple Hébreux pour son Dieu tout au long de son histoire.
Ainsi, le chant du Magnificat concrétise la bonté et la tendresse de Dieu à l’égard de tous ceux qui le cherchent. C’est le texte fondateur de la Bonne Nouvelle. Ce chant porte un message révolutionnaire. « Dieu disperse les orgueilleux, Il déboulonne les puissants, Il relève ceux qui n'ont pas droit à la parole, ceux que l'on rejette, les pauvres de toutes conditions. » Et c'est Marie, cette femme, souvent présentée à « l'eau de rose », qui crie ces vérités fortes pour tous les hommes de tous les temps !
Marie est un grand symbole, parce qu'elle est l'image idéale de toutes les femmes de tous les temps. Avant d'être universellement célébrée à travers les âges, elle a d'abord été une femme comme toutes celles de son époque. Elle ne s'est distinguée en rien des jeunes filles et des femmes de Nazareth. Cette femme appelée « glorieuse » aujourd'hui, a été une femme sans prétention et toute simple. Elle n'a rien fait d'extraordinaire ; elle a tout simplement rempli, avec beaucoup d'amour, sa mission d’épouse et de mère. Elle n'a pas fait de discours. Les Évangiles ne rapportent que quelques paroles qui expriment sa disponibilité et sa foi profonde : « Oui, je suis la servante du Seigneur ».
Et puis avec ces paroles de la Bible, par lesquelles elle affirme que le Seigneur a fait de grandes choses pour elle : « Magnifique est le Seigneur ». Elle est là, discrète et silencieuse. Elle essaye de comprendre son Fils à l’âge de 12 ans : « Pourquoi nous as-tu fait cela ? » Aux noces de Cana elle sert d’intermédiaire : « Faites tout ce qu’il vous dira. »
Marie sera là, d’une façon très discrète dans les évangiles, de l’Annonciation jusqu’au pied de la Croix. Marquée par les événements heureux et malheureux qui concernaient son Fils, Marie a éprouvé dans sa chair ce que toutes les mamans peuvent ressentir.
Marie est blessée profondément par la condamnation de son fils et son exécution. Elle est toujours là avec les apôtres, témoins de la résurrection au matin de Pâques. De même, elle sera présente aux premiers pas de l’Eglise naissante à la Pentecôte. Aujourd’hui encore, elle rassemble des multitudes de femmes et d’hommes pour ce 15 août on compte 7 000 pèlerins à Lourdes, et puis il y a Fatima, La Salette, Guadalupe, Banneux…. Tout ce monde bousculé par la souffrance sous toutes ses formes vient lui confier sa peine et son espérance.
A la suite de Marie et d’Elisabeth, les chrétiens sont invités à reconnaître et à se réjouir de tout ce qui arrive de beau et de bien à ceux qui les entourent. Cette joie sera d’autant plus grande, qu’on aura mesuré et partagé les difficultés au milieu desquelles tous ces gens essayent de tenir le coup, « vaille que vaille ».
Avec Marie, faisons nôtre ce chant du Magnificat en rejoignant le combat de ceux qui sont engagés aux côtés des petits, des faibles, des laissés pour compte, des sans-papiers, des sans-toits, des sans-travail, les cassés de la vie et aux côtés de tous ceux qui ne savent plus à quoi s’accrocher.
Notre Maman du ciel sera toujours présente à ce grand combat de l'humanité sur terre, où les forces de la Vie et de la Mort s'affrontent dans le cœur des hommes et dans le monde, jusqu'à la fin des temps.
Marie, aide-nous à nous mettre en route et à nous laisser déranger par Dieu qui a besoin de nous. Aide-nous à rester vigilants, attentifs et accueillants aux autres sans nous lasser comme tu as si bien su le faire.
François, prêtre retraité
« Tu es bénie entre toutes les femmes… »
Ce cri de joie de sa cousine Elisabeth exprime tout ce que peut apporter une rencontre de confiance et de partage. Ni Marie, ni Elisabeth n’avaient osé espérer un tel bonheur. Le fait de se rencontrer, leur donne l’occasion d’exprimer librement ce qu’elles ressentent de l’action de Dieu en elles. Avec les paroles de la Bible, l’une et l’autre expriment la nouveauté de leur vie enrichie par Dieu. Marie ne fait que reprendre à son compte l’admiration du peuple Hébreux pour son Dieu tout au long de son histoire.
Ainsi, le chant du Magnificat concrétise la bonté et la tendresse de Dieu à l’égard de tous ceux qui le cherchent. C’est le texte fondateur de la Bonne Nouvelle. Ce chant porte un message révolutionnaire. « Dieu disperse les orgueilleux, Il déboulonne les puissants, Il relève ceux qui n'ont pas droit à la parole, ceux que l'on rejette, les pauvres de toutes conditions. » Et c'est Marie, cette femme, souvent présentée à « l'eau de rose », qui crie ces vérités fortes pour tous les hommes de tous les temps !
Marie est un grand symbole, parce qu'elle est l'image idéale de toutes les femmes de tous les temps. Avant d'être universellement célébrée à travers les âges, elle a d'abord été une femme comme toutes celles de son époque. Elle ne s'est distinguée en rien des jeunes filles et des femmes de Nazareth. Cette femme appelée « glorieuse » aujourd'hui, a été une femme sans prétention et toute simple. Elle n'a rien fait d'extraordinaire ; elle a tout simplement rempli, avec beaucoup d'amour, sa mission d’épouse et de mère. Elle n'a pas fait de discours. Les Évangiles ne rapportent que quelques paroles qui expriment sa disponibilité et sa foi profonde : « Oui, je suis la servante du Seigneur ».
Et puis avec ces paroles de la Bible, par lesquelles elle affirme que le Seigneur a fait de grandes choses pour elle : « Magnifique est le Seigneur ». Elle est là, discrète et silencieuse. Elle essaye de comprendre son Fils à l’âge de 12 ans : « Pourquoi nous as-tu fait cela ? » Aux noces de Cana elle sert d’intermédiaire : « Faites tout ce qu’il vous dira. »
Marie sera là, d’une façon très discrète dans les évangiles, de l’Annonciation jusqu’au pied de la Croix. Marquée par les événements heureux et malheureux qui concernaient son Fils, Marie a éprouvé dans sa chair ce que toutes les mamans peuvent ressentir.
Marie est blessée profondément par la condamnation de son fils et son exécution. Elle est toujours là avec les apôtres, témoins de la résurrection au matin de Pâques. De même, elle sera présente aux premiers pas de l’Eglise naissante à la Pentecôte. Aujourd’hui encore, elle rassemble des multitudes de femmes et d’hommes pour ce 15 août on compte 7000 pèlerins à Lourdes, et puis il y a Fatima, La Salette, Guadalupe, Banneux…. Tout ce monde bousculé par la souffrance sous toutes ses formes vient lui confier sa peine et son espérance.
A la suite de Marie et d’Elisabeth, les chrétiens sont invités à reconnaître et à se réjouir de tout ce qui arrive de beau et de bien à ceux qui les entourent. Cette joie sera d’autant plus grande, qu’on aura mesuré et partagé les difficultés au milieu desquelles tous ces gens essayent de tenir le coup, « vaille que vaille ».
Avec Marie, faisons nôtre ce chant du Magnificat en rejoignant le combat de ceux qui sont engagés aux côtés des petits, des faibles, des laissés pour compte, des sans-papiers, des sans-toits, des sans-travail, les cassés de la vie et aux cotés de tous ceux qui ne savent plus à quoi s’accrocher.
Notre Maman du ciel sera toujours présente à ce grand combat de l'humanité sur terre, où les forces de la Vie et de la Mort s'affrontent dans le cœur des hommes et dans le monde, jusqu'à la fin des temps.
Marie, aide-nous à nous mettre en route et à nous laisser déranger par Dieu qui a besoin de nous. Aide-nous à rester vigilants, attentifs et accueillants aux autres sans nous lasser comme tu as si bien su le faire.
Sur mon chemin.....
La présence des nombreuses fleurs que les employés arrosent tous les matins municipaux est très appréciée par les touristes.
mercredi 13 août 2025
29 ° à10 h ; les génisses se mettent à l'ombre
Heureusement que dans les parcs il y a des arbres pour les bovins les chevaux qui passent tout l'été dehors..
mardi 12 août 2025
Sur mon chemin...
C'est à partir de ce croisement d'où les randonneurs prennent leur départ pour le sentier d'excellence qui les emmène à la chapelle Saint-Joseph
dimanche 10 août 2025
À la rencontre de la nature et du Moulin d’Eschviller
Lors de sa visite, le moulin à grains d'Eschviller vous fera revivre l'aventure secrète des meuniers de village. En le visitant, vous comprendrez tout du fonctionnement d’un moulin à eau, mais également du travail des meuniers. Devant vous la meule tourne pour produire comme autrefois la farine qui sert à faire le pain.
Le blutoir et les deux meules
La scierie pédagogique vous permet de partir à la découverte des moulins à scier les planches. Emerveillez-vous devant la magie des engrenages et le travail des scieurs.
Autour du moulin, le sentier nature et patrimoine vous emmène pour une boucle dans les bras de la Schwalb. Apprenez à reconnaître de nombreuses essences d'arbres de notre région.
Un groupe visitant le sentier nature et patrimoine
En visitant le rucher, entrez dans le monde fascinant des abeilles et découvrez qu'elles ne produisent pas que du miel ! Infatigable butineuse, l'abeille est un acteur majeur du maintien de la biodiversité mais, ce précieux insecte est menacé par de nombreux dangers.Photos J.A.S.
Un apiculteur expliquant le rôle important de l'abeille.Décès de Rémy Dorkel
M. Rémy Dorkel est décédé à Sarreguemines, vendredi 8 août à l’âge de 75 ans.
Né le 23 avril 1950 à Volmunster, il était l’époux de Mme Brigitte Dorkel née Stock, depuis le 29 avril 1977.
Papa de trois enfants, Manuel, Yannick et Mathieu, il avait la joie de compter sept petits-enfants, Jules, Nolwen, Mathéo, Gabin, Eva, Clémence et Lucie.
Retraité chauffeur laitier, il demeurait à Volmunster.
La cérémonie des obsèques se ront célébrées le lundi 11 août à 14 h 30 à l'église Saint Pierre de Volmunster
Nos très sincères condoléances à sa famille.
samedi 9 août 2025
Le sucre est un très mauvais addictif
Au-delà de la mastication des aliments, il y a évidemment le contenu de l'assiette. Je dis souvent
Je recommande une alimentation principalement végétale, avec au moins 50 % de légumes, des protéines de qualité (œufs, poissons, légumineuses, volailles...), des fibres, et une vraie attention à la sensation de satiété. La santé, on le voit, ne se décrète pas par ordonnance. La santé s'apprend, se cultive, s'entretient et s'encourage.
Dr Olivier Vankemmel
Annonces
Samedi 16 HOTTVILLER 16h00 : mariage de Lucie BISCHLER et Valentin BLEISCHER
BREIDENBACH
18h30 : messe –
en service de 30ème pour Raymonde LANG /
Octavie et Etienne LEICHTNAM / Suzanne LEICHTNAM et famille / Michaël FRUMHOLZ et familles FRUMHOLZ - SCHOENHENS
RIMLING 18h30 : messe – Jeannot FIERLING, son fils Jérôme et fam.
Dimanche 17 à ROLBING
10h30 : messe – Gilbert SPRUNCK / Lucie et Victor NAGEL /Anne et Antoine SCHWARZ, Joseph FABING, Jules, Léonie et Robert LABERHEIM, Sœur Mathilde / Norbert
LEICHTNAM, Victorine BEHR, Hilda FEDERSPIEL et famille
Dim 17 20ème du temps ordinaire
BETTVILLER
10h30 : messe – en service de 30ème pour Anne KUHNER Alycia WEISS / familles BLIND - COLLET - ROHR / Anne et Jean Baptiste HEID et fam. / Joseph, Irène et Camille HOELLINGER et les âmes du purgatoire / Marie et Joseph
KUHNER / Joseph BEHR et fam. / Eugène WAGNER et fam.
+ baptêmes de Simon BLIND et Arthur LANG
Lundi 18 ESCHVILLER 18h00 : messe
Mardi 19 OBERGAILBACH 18h00 : messe
Mercredi 20 DOLLENBACH 18h00 : messe
Vendredi 22 VOLMUNSTER église 17h00 : messe 17h30 à 18h30 : adoration eucharistique guidée
Samedi 23 HOTTVILLER 15h30 : mariage de Julie LALEMAND et Gaétan BICHLER
Samedi 23 VOLMUNSTER 18h30 : messe – Alfred KIRSCH / Léonie MEHLINGER
Dimanche 24 10h00 : messe – EPPING
avec les amis charentais
Dimanche 24 21ème du temps ordinaire
en service anniversaire pour Jean-Luc FISCHER et fam. / en service anniversaire pour Marie HEMMERT - BROBST / Félicie FRUMHOLTZ, Raymond SCHUSTER et familles
HOTTVILLER
10h30 : messe – en action de grâce pour les noces d’or de Mady et Aloyse FEDERSPIEL /
Anne et Aloyse FEDERSPIEL, Berthe et Robert STEPHAN, Jean-Pierre DOERFLINGER et à une intention particulière
COMMUNICATION
Mercredi 10 septembre à HOLBACH – FATIMA : prier Marie avec le MCR (Mouvement Chrétien des retraités) de la Zone de Sarreguemines / Sarralbe / Bitche
14h à 17h : tout le monde est invité et peut découvrir le mouvement.
Large invitation à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour fêter Marie.
16h : eucharistie qui clôturera cette rencontre.
Repas paroissial
- Dimanche 7 septembre à BETTVILLER après la messe de 10h30
- Dimanche 14 septembre à ORMERSVILLER après la messe de 10h30
INSCRIPTION 1ERE COMMUNION
Pour la communauté Saint Pirmin et Saint Jean-Marie Vianney : mardi 9 septembre 20h église de VOLMUNSTER
INSCRIPTION FERME A LA CONFIRMATION pour les jeunes entrant en 6ème le mardi 16 septembre à 20h au presbytère de ERCHING