mercredi 28 juillet 2021

Le doyen de Volmunster, Jean Meyer a fêté ses 95 ans

   Ce mercredi Jean Meyer, le doyen de la commune a fêté ses 95 ans. Le jubilaire est né le 28 juillet 1926 à Moyeuvre-Grande.

Photo JAS

 Le maire Jean-Michel Heckel, accompagné de Pierrot Schaff conseiller municipal, a souhaité un joyeux anniversaire au doyen de la commune  Jean  Meyer (avec des lunettes à droite) et lui a remis quelques bonnes bouteilles.


 Après avoir été au Service du travail obligatoire, il est enrôlé de force dans l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. Il effectue dès 1943 ses classes en Pologne, puis il est affecté dans les unités occupant la Norvège. Fait prisonnier par les Alliés en mai 1945, il ne sera libéré que fin septembre 1945. Il rejoindra la France en bateau sur lequel il rencontre son camarade de classe, René Sprunck. Ils débarqueront ensemble au Havre. Après avoir appris son métier de forgeron à Manhoué, il est engagé comme ajusteur aux houillères de Petite-Rosselle durant 23 ans, puis autant d’années au syndicat des eaux de Volmunster en tant que fontainier. Il a épousé le 15 novembre 1954 Madeleine Seibert, actuellement alitée. De cette union sont nés deux fils Patrick et Jean-Luc. Il a la joie d’être entouré de quatre petits-enfants et de deux arrières-petits-enfants.  

 Joyeux anniversaire Jean!


JAS

Marche des chasseurs et barbecue avec les habitants de Schweyen

 


Lors  de  sa création en 2018, la compagnie,  ayant comme emblème le taureau,  la commune de Schweyen  est devenue sa marraine. Depuis, elle participe régulièrement  aux cérémonies patriotiques, organisées par la commune.

Cette cinquième compagnie du 16 B ème Bataillon des chasseurs  de Bitche, commandée par le capitaine Fabien,  a rejoint à pied  Schweyen  où elle a accueilli les habitants du village le mercredi 21 juillet 2021 sur l’espace à côté de la salle communale.

Photos JAS

Présentation des armes 




 A partir de 16 h 30, les soldats ont présenté les armes utilisées  par les soldats. Ce qui a particulièrement intéressé le public, c’est surtout  le VBCI (véhicule blindé de l’infanterie) Le   VBCI et ses équipements  sont conçus pour être engagés au sein d’une force blindée. Le VBCI doit permettre le débarquement au plus près de l'objectif du groupe de combat et être en mesure de lui fournir un appui avec son armement de bord.

Après la visite, tous les habitants présents ont été invités à un barbecue


J.A.S.

lundi 26 juillet 2021

Deux équipes senior sont engagées pour la nouvelle saison par l'ESOE

 L'Entente Sportive Ormersviller-Epping a tenu son assemblée générale à la salle socioculturelle d’Ormersviller, sous la présidence de Mickaël Bruhl.

Après avoir fait le rapport moral de la saison écoulée, le président a notamment félicité l'ensemble des membres du comité et des bénévoles qui ont œuvré sans relâche tant lors des manifestations que lors des nombreuses matinées de travaux au stade.


Photo DR

Un club dynamique


Avec une saison stoppée dès la fin d'année 2020, le bilan sportif a été succinct. La nouvelle saison est d'ores et déjà en préparation avec l'arrivée de plusieurs nouveaux  joueurs. Le club engagera à nouveau deux équipes senior sous la direction de l’entraîneur  Loïc Scherno. 

Le président se réjouit de la  la forte affluence au sein des catégories du pôle animation (U7/U9) Alliance 2008 qui se tient en partie à Ormersviller. Le club est d'ailleurs à la recherche d'éducateurs pour ses catégories U11 à U18.

Marcel  Vogel, maire d’Ormersviller et Nicolas Bowman, adjoint  au maire d’Epping ont tout deux vivement encourager et féliciter  « l'engagement  des joueurs, le dynamisme des responsables et de tous les bénévoles qui interviennent. Grâce à tous sans exception  l’Entente Sportive  Ormersviller Epping continue à se développer. »

 

Soutien  du Club des Aînés


Le président a vivement adressé des remerciements particuliers   au club des Ainés du village pour un don effectué au club. De même, après de nombreuses années à

s'occuper de l'entretien des locaux il a remercie  Isabelle Kuster et Christine Heckel qui ont décidé de rendre leur tablier. Un bouquet de fleurs leur a été offert pour les remercier de leur investissement dans l’association.


JAS

Le message du Père François

 Évangile de Jésus Christ selon St Jean 6 24–35

« En ce temps-là, quand la foule vit que Jésus n’était pas là, ni ses disciples, les gens montèrent dans les barques et se dirigèrent vers Capharnaüm à la recherche de Jésus. L’ayant trouvé sur l’autre rive, ils lui dirent : « Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? » Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés. Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. » Ils lui dirent alors : « Que devons-nous faire pour travailler aux œuvres de Dieu ? » Jésus leur répondit : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. » Ils lui dirent alors : « Quel signe vas-tu accomplir pour que nous puissions le voir, et te croire ? Quelle œuvre vas-tu faire ? Au désert, nos pères ont mangé la manne ; comme dit l’Écriture : Il leur a donné à manger le pain venu du ciel. » Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : ce n’est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du ciel ; c’est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel. Car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. » Ils lui dirent alors : « Seigneur, donne-nous toujours de ce pain-là. » Jésus leur répondit : « Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; celui qui croit en moi n’aura jamais soif. »



En parcourant cet évangile je pensais à cette brave maman, qui pour exprimer à son petit-fils la joie de le revoir, glissait un petit billet dans sa poche en signe de son affection. Geste, certainement pas anodin, avec cette arrière-pensée : il reviendra un peu plus souvent me voir ! Mais très vite elle sentit que ce signe n’était plus signe de rien du tout mais s’était transformé en habitude et même en dû. C’est elle qui était presque en dette vis-à-vis de son petit-fils. La preuve fut évidente, lorsqu’elle ralentit son geste, les visites ralentirent au même rythme.
Chers amis, personne n’échappe à ce phénomène et nous voyons qu’avec Jésus ce fut la même chose. Qu’est-ce qui faisait courir la foule derrière lui ? C’est parce qu’elle espérait obtenir du pain gratuitement, une guérison. Comme aujourd’hui qu’est ce qui fait courir les foules à Lourdes, Beauraing ou Banneux… n’est-ce pas ce secret espoir d’obtenir soit une guérison, une faveur, un avantage ?
Mais Jésus n’est pas dupe et il leur dit : « Vous me cherchez non pas parce que vous avez vu des signes mais parce que vous avez été rassasiés ». La foule n’a pas compris le signe, le message de Jésus, comme le petit fils n’a pas compris le signe, le message de sa bonne maman. C’est l’intérêt qui est devenu premier au détriment du signe que Jésus voulait révéler.
Or nous l’avons vu dimanche dernier, le signe du pain était le signe du partage qui produit l’abondance.
Nous aussi nous aimerions tant un Dieu qui satisferait nos appétits, comblerait nos manques. Qui ferait tomber la pluie là où nous voulons qu’elle tombe et briller le soleil là où nous le souhaitons. Qui écarterait la pandémie, la guerre, la famine, les catastrophes assez loin pour nous épargner. Comme on lit très peu ou pas du tout les Saintes Ecritures, on oublie le pouvoir que Dieu a donné aux Hommes : « Dominez la terre, maîtrisez-la ! »
Face à l’incompréhension de la foule, Jésus a préféré prendre une barque pour échapper à cette foule et marquer ainsi une rupture. Car Dieu, le Dieu de Jésus n’est pas à prendre comme on a un gros lot ou une assurance vie. Nul ne peut mettre la main dessus, aucun groupement, aucun parti, aucune religion et même aucune église ne peut dire nous le tenons, nous le possédons. A peine croit-on le saisir qu’il est déjà plus loin, il est toujours au-delà.
« Je suis le pain venu du ciel » dit-il. Il est le pain pour ceux qui marchent et non pour ceux qui s’arrêtent. Il est un pain que l’on partage et non pas un pain que l’on garde. Il est le pain de ceux qui cherchent et non de ceux qui possèdent. Il est le pain qui n’appartient à personne sinon à Dieu lui-même. Il est le pain qui comble une autre faim de l’homme.
En somme, Jésus nous révèle que l’être humain n’est pas une création du besoin et de la nécessité, mais une créature de désir, ouverte sur l’avenir. Il nous parle d’une nourriture dont le pain n’est que l’image. Il nous dit que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de beauté, de création, d’amour, de gratuité, de vérité, de justice, de reconnaissance et de dignité. Avec beaucoup de délicatesse, il voudrait éveiller en nous cette faim-là. C’est bien pourquoi, lorsque nous le prions et lui demandons des choses, il nous donne quelqu’un, il se donne lui-même.
Mais comment aurions-nous encore faim de ce pain là si notre seul souhait est d’être comblé, de ne plus avoir faim de rien… ni de personne ?
François, prêtre retraité

vendredi 23 juillet 2021

Coupure d'eau



 Le Syndicat des Eaux de Volmunster informe la population que des travaux seront réalisés au réservoir d’Ormersviller le jeudi 29 juillet 2021 à partir de 8 heures. L'intervention est programmée pour la matinée et  générera une  coupure d’eau dans les communes de Breidenbach, Epping, Lengelsheim;, Nousseviller-lès-Bitche, Ormersviller et Volmunster.

JAS

Sons et couleurs au Stadtweieher de Bitche

 









mercredi 21 juillet 2021

Le message du Père François

 Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 6,1-15

En ce temps-là, Jésus passa de l’autre côté de la mer de Galilée, le lac de Tibériade. Une grande foule le suivait, parce qu’elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades. Jésus gravit la montagne, et là, il était assis avec ses disciples. Or, la Pâque, la fête des Juifs, était proche. Jésus leva les yeux et vit qu’une foule nombreuse venait à lui. Il dit à Philippe : « Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? » Il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car il savait bien, lui, ce qu’il allait faire. Philippe lui répondit: « Le salaire de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun reçoive un peu de pain. » Un de ses disciples, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit: « Il y a là un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde! » Jésus dit: « Faites asseoir les gens. » Il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes. Alors Jésus prit les pains et, après avoir rendu grâce, il les distribua aux convives; il leur donna aussi du poisson, autant qu’ils en voulaient. Quand ils eurent mangé à leur faim, il dit à ses disciples: « Rassemblez les morceaux en surplus, pour que rien ne se perde. » Ils les rassemblèrent, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d’orge, restés en surplus pour ceux qui prenaient cette nourriture. À la vue du signe que Jésus avait accompli, les gens disaient: « C’est vraiment lui le Prophète annoncé, celui qui vient dans le monde. » Mais Jésus savait qu’ils allaient l’enlever pour faire de lui leur roi; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul
"Jésus, levant les yeux, vit une grande foule qui venait à lui." Ce regard attentif et accueillant du Seigneur traduit sa tendresse compatissante. "Il savait, quant à lui, ce qu'il allait faire" a noté l'évangéliste Jean.

Il va réaliser ce pour quoi il est venu: être le Témoin de l'amour du Père pour l'humanité.
Tout au long de l’histoire, depuis Jésus, des hommes et des femmes ont consacré leur vie au service de ceux qui ont faim et soif de nourriture et de dignité.


Evoquons le souvenir de l’Abbé Pierre, de Coluche : les restos du cœur, sœur Térésa à Calcutta, sœur Emmanuelle avec les chiffonniers du Caire… ils ont donné de la gentillesse et de la générosité qui, non seulement nous émerveillent mais qui nous interpellent dans notre manière de vivre. En cela, ils rejoignent Jésus qui ne pense qu'à donner; en Lui, Dieu donne, Dieu se donne. "Comment, en son Fils, ne nous donnerait il pas tout?", écrivait Paul (Rm 8, 3z).
En tant que gamin, je me souviens, le dimanche après-midi, en famille, on allait se promener dans la forêt, et la maman avait du gâteau (parce que c’était dimanche) et de l’eau dans le panier, pour le 4h.
A partir de cet exemple on peut mieux comprendre ce qui s’est passé ce jour-là au bord du lac de Tibériade. Sans pour autant minimiser le miracle de la multiplication, je suis persuadé que Jésus, avant de multiplier les pains, il a commencé par multiplier les cœurs. Il invite chacun d’ouvrir son panier.
N’avons-nous pas fait cent fois cette expérience dans nos pique-niques et nos réunions conviviales. Quand la nourriture est mise en commun, personne n’en manque et il en reste. Si nous partagions à la grande table de l’humanité, il y aurait assurément du pain pour tous!
Le miracle a été concrètement possible parce que, par bonheur, un gamin se présente avec 5 pains et 2 poissons. - (Ration donnée à l’orphelin pour la semaine par le gouvernement) - geste de générosité qui caractérise souvent ceux qui ont peu. Geste merveilleux, Jésus reçoit de l’enfant le don du pain – ce « fruit de la terre, du travail, des efforts et des souffrances de l’homme » - et après avoir invoqué le Père et prononcé la bénédiction, il fait distribuer les 5 pains et les 2 poissons. Il y en a pour tous, et il en reste encore !
Aujourd'hui, Jésus Pain de Vie nous invite à sa table où il nous partage son Corps et son Sang. En ce dimanche, des millions de chrétiens comme nous vivent l'Eucharistie : cet "incroyable" Repas du Seigneur, le Mystère de la Foi : un Dieu qui se donne en nourriture pour nous arracher à l’égoïsme et nous ouvrir au partage. En tant que célébrant de l’eucharistie, devant un parterre de plus en plus clairsemé, je me demande de quelle faim nos chrétiens ont « soif » aujourd’hui ? Pourtant, on n’hésite pas à faire des kilomètres pour se retrouver entre amis, dans telle auberge ou tel restaurant.
Ne l’oublions pas, Dieu a besoin de nous, pour un grand travail. Au lieu de demander au Seigneur de donner du pain à ceux qui ont faim, prions-le de multiplier notre amour, notre générosité, notre sens du partage. Nous ne pouvons joindre nos mains pour une prière vraie qu’à la condition de les ouvrir pour partager ce que nous avons d’essentiel. Dieu aujourd’hui n’a pas d’autres mains pour agir, d’autres cœurs pour aimer que les nôtres.

François, prêtre retraité


Fête nationale à Shweyen

 Le dimanche 18 juillet s'est déroulée la cérémonie commémorative



🇫🇷 du 14 juillet au Monument aux Morts, suivie de remises de distinctions à d’anciens élus zt en présence du sous-préfet de l’Arrondissement de Sarreguemines et de Sophie Pastor, conseillère départementale, du président des anciens combattant des anciens combattants.
- la 5ème Compagnie du 16ème Bataillon de Chasseurs à Pieds
- le Commandant de la Communauté de Brigades de Bitche
- les sapeurs-pompier
- la fanfare de Schweyen
- la chorale de Schweyen
- les habitantes et les habitants de la commune



La municipalité tient à féliciter nos anciens élus :
- Gaby Buchheit
- Bruno Meyer
- Joël Schwartz
- René Drexler
- Emile Buchheit
- Jean-Marie Buchheit
- Jean Hoellinger
- Hilaire Sprunck
... qui se sont vu remettre les distinctions de Maire et Adjoint Honoraire. Elle salue leur travail effectué et leur mobilisation durant leur mandature.
Cela a été l’occasion pour la population de se retrouver pour un moment convivial

mardi 20 juillet 2021

Défilé à Schweyen

La 5eme compagnie du 16BC de Bitche fait une marche du bataillon jusqu'à Schweyen ce mercredi 21 juillet 2021.

 



Au programme : 
Arrivée vers 16h à Schweyen
16h à 18h30 présentation des matériels de la compagnie 
18h30 barbecue
 
L'ensemble des villageois sont conviés. 

lundi 19 juillet 2021

Un beau spectacle de rue au Moulin d'Eschviller le dimanche 25 juillet

 Le dimanche 25 juillet à  21 h, à Volmunster, la compagnie Seuls les Poissons se produira sur le site du moulin d’Eschviller avec son spectacle Gérard Naque, le Presqu’idigitateur.

Photo DR

D'illusions dérisoires en dérisions illusoires, Gérard Naque vous promet la grande illusion... Ou presque !!

Avec un discours décalé de la traditionnelle posture du magicien et une mise en scène participative sous forme de conférence politico-louffoque, ce personnage "sympathétique" utilise la magie pour questionner la notion d'illusion au quotidien.
Car Gérard est avant tout magicien, voire mentaliste, mais se revendique "petit fils spirituel de l'illustre Charles Attend" ...
Un spectacle pour la rue ou la scène, à l'humour caustique et satirique, proposant une certaine vision de notre société.
Une mise en garde spectaculairement ludique pour petits visionnaires et grands aveugles.

Spectacle plutôt pour adultes (pouvant venir accompagnés de leurs enfants ... et non l'inverse !)














dimanche 18 juillet 2021

Le général Charles Etienne Gudin s’est marié à Volmunster

 La dépouille de Charles Etienne Gudin de la Sablonnière, l’un des généraux de l’Empereur, mort en 1812 pendant la campagne de Russie, rapatriée en France, s’est marié à Volmunster.



C’est à la mairie de Volmunster que le maire   Jacques Hermann a célébré le 20 juillet 1798 le mariage de  Jeanne Creutzer, seigneur de Volmunster, propriétaire du château  et de Charles Gudin de la Sablonnière, Adjudant général à l’Armée du Rhin.

 


Le château de Volmunster


 Il a été puis ensuite nommé général et comte d’empire.   Ce dernier est né le 13 février 1768 à Montargis.  Condisciple de Napoléon Bonaparte  à l’école militaire de Brienne, il est devenu général de division en 1800 et a obtenu le commandement d'une division sous les ordres du maréchal  Davout. Il s’est  distingué à différentes batailles     comme  tacticien. Lors de la campagne de Russie, il est mortellement blessé par un boulet de  canon   à la bataille de Valculina Gora. Il décède   le 19 août 1812 à Smolensk. Deux ans après la découverte des restes du général Gudin à la citadelle de Smolensk , elles ont été ramenées  le 13 juillet 2021  en France. Une cérémonie d'accueil a été organisée  au  Bourget. 


Joseph Antoine Sprunck

mercredi 14 juillet 2021

Le confinement entre en phase 3 au Canada

 

A la fin du 19ème siècle, quatre frères  Andrès d’Ormersviller émigrent dans la région des grands lacs aux Etats Unis,  et dans les années 1960, un de leur petit cousin Roger Andrès émigre  au Canada. Il habite avec son épouse Claudette  à Toronto. Nous avons pris contact avec lui pour savoir comment cela se passe au Canada actuellement et faire le point. On constate que les règles à observer durant le confinement y sont plus restrictives qu’en France.


Photo Robert Andrès
Lever su soleil à Toronto


Où en est le confinement?

Comme en France dans l’Ontario, la région entre

dans  un confinement en phase  trois le 16 juillet. 


Quel est le règlement de cette phase: 

Cela veut dire que les coiffeurs, masseurs et autres professionnels des soins corporels vont pouvoir nous accueillir à nouveau. Si je n'avais pas acheté une tondeuse à cheveux pour que mon épouse Claudette joue à la coiffeuse, j'aurais des cheveux jusqu'aux épaules à l’arrière. Nous n'avions pas accès aux coiffeurs pour plus de 6 mois. 

Qu’en est-il pour les sorties?

Nous pourrons finalement aller à l’intérieur du restaurant, ce qui était impossible pendant plus d'un an. Les gymnases et les églises, peuvent à nouveau accueillir, mais  en respectant   des limites quantitatives.


Y a-t-il encore des masques?

Bref, c’est un retour vers la presque normalité. La distanciation et les masques sont toujours de rigueur. Je ne suis pas convaincu que nous arriverons à l’étape 4 (quasi-liberté) qui sera théoriquement atteint après 21 jours de stade 3 sans augmentation de cas. Enfin, on verra bien.


Comment  est le temps?

L'été n'est pas particulièrement chaud ici, alors qu'à l'autre bout du pays, à l'ouest, en Colombie Britannique et Alberta les températures sont anormalement élevées et il y a beaucoup de feux de forêt incontrôlés. Au sud, chez les Américains, les    températures sont même dangereuses. 


Propos recueillis par Joseph Antoine Sprunck, petit-cousin de Robert Andrès





   

Le réchauffement climatique

 



"
Excellente réponse d'un journaliste de skynews Australie aux jeunes qui ont récemment manifesté pour le climat : 

«Vous êtes la première génération à avoir demandé la climatisation dans chaque salle de classe ; vos leçons sont toutes faites à l'ordinateur ; vous avez une télévision dans chaque pièce. Passez toute la journée à utiliser des moyens électroniques au lieu de marcher à l'école, vous prenez toutes sortes de moyens de transport. Vous êtes les plus grands consommateurs de biens de consommation de toute l'histoire, vous achetez sans cesse les vêtements les plus chers pour être tendance votre protestation est annoncée par des moyens numériques et électroniques. 

Les gars, avant de protester, éteignez la climatisation, allez à l'école à pied, éteignez vos téléphones et lisez un livre, faites un sandwich au lieu d'acheter de la nourriture. Rien de cela ne se produira, parce que vous êtes égoïstes, mal éduqués, manipulés par des gens qui vous utilisent, disant que vous avez une cause noble tout en vous amusant dans le luxe occidental le plus fou. Réveillez-vous, et fermez-la. Informez-vous des faits avant de protester»".

samedi 10 juillet 2021

Conserver l’esprit de mémoire

 Depuis le confinement, c’est la première assemblée générale de la section d’arrondissement de Sarreguemines et de la section de Grosbliederstroff des anciens combattants qui s’est tenue à la salle André Fouchs à Epping. Les membres de l’association y ont  été accueillis par  Jean-Louis Chudz, maire d’Epping. Aussi étaient-ils heureux de pouvoir se retrouver durant cette longue période de confinement. Après avoir respecté une minute de silence, Philippe Burkart, président d’arrondissement a lu le rapport moral.  



Le devoir de mémoire

Le maire a rappelé que «  la conservation de l’esprit de mémoire des anciens combattants qui ont donné leur vie pour la France était importante. »  La députée Nicole Trisse a évoqué « l’importance de ne pas oublier ce que ces jeunes hommes de 20 ans ont donné pour les valeurs républicaines. » Jean-Claude Klinkert, président régional et départemental a lancé un appel à tous pour « reprendre le flambeau en main et de continuer à travailler pour le devoir de mémoire et de prendre des fonctions au sein de la région. » En fin de réunion, les anciens combattants ont défilé dans le centre du village pour se rendre au monument aux morts afin d’y déposer une gerbe. Cette cérémonie a été organisée en mémoire de « ceux qui tombés pour la liberté et la paix "   Il est rappelé qu’il n’y a pas de permanences au mois de juillet et août. Néanmoins un transfert d’appel est fait par le numéro du bureau de Sarreguemines 09 77 06 79 14.

JAS

Don du sang le lundi 12 juillet



Un don de sang est organisé à Volmunster le lundi 12 juillet 2021 de 16H30 à 19 h 30 dans la salle du périscolaire - 1, rue du Presbytère.

vendredi 9 juillet 2021

Un 14 juillet en "mode famille" au Cochonnet

 


Le tournoi de pétanque prévu au square du Cochonnet de Nousseviller-lès-Bitche   le 14 juillet à 14 h avec inscription à partir de 12h30 est destiné aux triplettes familiales. Chaque équipe comprendra soit une joueuse, soit un jeune de moins de 15 ans. Et si possible, qu'elle forme un noyau familial. Une petite restauration (grillades) est prévue en fin d'après-midi.  Bienvenue à tous.

JAS

 

jeudi 8 juillet 2021

Armons nous contre le Covid!

 


Les métamorphoses de l’arbre de Jean-Marie Gehl

Samedi matin a eu lieu le vernissage de l’exposition « Les métamorphoses de l’arbre » de Jean-Marie Gehl  dans la scierie à planches du Moulin d’Eschviller. Cette très belle exposition mérite d’être visitée.



C’est Jean-Michel Heckel, maire de Volmunster, qui a accueilli les élus, les invités  et  ainsi que l’artiste.  « Nous sommes heureux d’accueillir, Jean-Marie Gehl, un artiste originaire du Bitcherland qui a choisi d’exposer ses oeuvres dans ce lieu emblématique du Moulin d’Eschviller. C’est une valeur ajoutée pour attirer les visiteurs pour découvrir ces oeuvres en bois, qui est une richesse naturelle du Bitcherland dans ce lieu d’exception «  souligne, David Suck, président de la communauté des communes du Pays de Bitche.


Créateur de formes.



Survivre, l'homme s'accroche à l'arbre

Jean-Marie Gehl, créateur de formes, amateur et autodidacte, expose ses oeuvres à la scierie du Moulin d’Eschviller.  C’est le fruit d’une quarantaine d’années de sculpture sur bois. Il nous a expliqué «  qu’il a passé son enfance dans les forêts et les vergers  de Soucht »  C’est ce qui lui a permis de « se familiariser avec les différentes  essences d’arbres et de puiser son inspiration dans l’environnement, la culture et les activités humaines des Vosges du Nord » qu’il continue à mieux connaître grâce à ses nombreuses randonnées qu’il organise en tant que président du club vosgien de Soucht.


Les bois plus divers



L'exode


Pour réaliser ses 24 sculptures, il a utilisé  du bois des différents arbres fruitiers, mais aussi du buis, du sorbier, de l’olivier, du chêne…, mais aussi du verre, pour ne pas oublier le Pays du verre. Depuis quarante ans, Jean-Marie Gehl  sculpte le bois. Dans chaque oeuvre il cherche  à révéler la matière et la forme dans le bois, puis   lui taille des formes abstraites, douces et suggestives dans ce matériau noble. Il a su lui donner une forme incroyablement moderne, en renouant avec les techniques primitives… 


Les lino gravures




Notre artiste, tout en taillant le bois, s’est également lancé dans la linogravure qui est la technique consistant à enlever les blancs ou « réserves » du résultat final.  L'encre se posant sur les parties non retirées, donc en relief, le papier pressé sur la plaque conserve l'empreinte de l’encre. Dans ses gravures, il traite les sujets les plus divers comme le confiné, les moulins à eau,  les alvéoles d’une ruche,  les arbres, le pays sage des bouleau, le faucon pèlerin du Erbsefelsen, le souffleur de verre…




Joseph Antoine Sprunck