mercredi 29 juillet 2020

Visite commentée du sentier nature et patrimoine au Moulin d'Ecshviller

Connaissez-vous cette plante? Elle pousse au Moulin d'Eschviller.

Une promenade d’un km sur le site bucolique du Moulin d’Eschviller vous fera découvrir les paysages, les arbres, la flore, la faune, le patrimoine et les milieux humides en passant par un sentier qui franchit la rivière Schwalb et le bief qui alimente le moulin grâce à un système de vannage.
C’est la découvertes des différentes essences d’arbres et des plantes médicinales, de la gestion écologique de la vallée de la Schwalb, du circuit de l’eau et  du Walbrunnen, du canal et du barrage et explication de deux calvaires significatifs. Le groupe est limité à neuf personnes. La visite commentée sera animée par Joseph Sprunck le jeudi 13 août à 16 h30. Durée 1 h 30.
Rendez-vous: devant le moulin d’Eschviller, accessible aux   personnes à mobilité réduite (chaise roulante), gratuit
Renseignements et réservations au 03 87 96 76 40

mardi 28 juillet 2020

Le fleurissement à Volmunster

Au fil des années, Maurice Markowsky, agent communal, responsable de la plantation des fleurs au village, essaie également d’animer  les espaces verts et fleuris. C’est ainsi que dans l’espace mémoire une vache est attelée à un chariot,  chargé  de valises d’autres objets hétéroclites.  Sur la place Emile Gentil, explorateur  de l’Afrique, une belle case attend le visiteur. Devant l’école Adolphe Yvon, le train qui devait emprunter la ligne de chemin de fer reliant Zweibrücken, en passant par Volmunster  et rejoindre à Saint-Louis-lès-Bitche est enfin arrivé. Il faut rappeler que juste avant la guerre de 14/18, les Allemands avaient projeter de construire une ligne de chemin de fer passant par Volmunster. On peut encore une partie du quai de déchargement.  Maurice  a attendu   que la froide  Sainte-Sophie soit passée, pour planter près de 850 fleurs  dans les différents espaces.  Heureusement   que Nadège Lejeune, Joséphine Heckel et  Georgette Borsenberger, employées communales l’ont aidé.

Pour découvrir ces beaux espaces fleuris, il suffit de se promener à pied.























Deux feux de broussailles





Photos Egide Beckerich
Pour deux feux de broussailles,  les sapeurs pompiers du Centre d’Intervention de Volmunster ont dû intervenir l’un dans rue de Bitche près de l’Oratoire « Bildegärtel » et l’autre dans  la rue André Malraux.  L’incendie des broussailles est effectivement un fléau qui menace en permanence notre environnement  particulièrement  par temps de sècheresse. La majorité des causes reconnues de ces incendies est d’origine humaine. Il est donc primordial de rappeler les messages de vigilance, ainsi que les conduites à tenir en forêt ou dans un pré non entretenu permettant de limiter ce risque majoré par la période estivale: pas de feu ouvert, ne pas jeter de mégots, etc.

J.A.S.

Les chiens qui poursuivent les bovins dans les parcs.


Le chien d'un marcheur a  poursuivi le lundi 27 juillet vers 8 h 30 les bovins de race Salers dans le parc  sur les hauteurs d'Eschviller, au nord de la zone artisanale. On voit le chien sous l'arbre à droite. Les mauvais maîtres sont de plus en plus nombreux  à laisser courir leur chien dans la campagne.
Les chiens qui n'obéissent pas doivent être tenus  à la laisse.

 J.A.S.

vendredi 24 juillet 2020

Daniel Schneider, réélu président du syndicat des eaux de Volmunster



Au syndicat des eaux de Volmunster qui gère l’eau potable d’ Epping, Breidenbach, Lengelsheim, Epping, Volmunster et Ormersviller,  Daniel Schneider,   adjoint à Lengelsheim a été élu président par 10 voix et deux blancs. Jean-Luc Maurer, conseiller municipal de Volmunster, a été  élu 1er vice-président. Il a la délégation pour remplacer le président.  Chris Mathi , maire de Breidenbach, devient deuxième vice-président et Lucien Schneider, adjoint à Nousseviller-lès-Bitche, troisième vice-président. Le comité a décidé d’attribuer une indemnité uniquement au président et au premier vice-président. Le président est chargé de faire les relevés des compteurs à eau et de suivre tous les chantiers. Il doit suivre la gestion du réseau d’eau potable, de la station de pompage et du château d’eau d’Ormersviller, attribuée à Véolia. Actuellement  de nombreux sondages sont effectués dans les différents villages. Des rénovations de réseau seront effectués  lors des différents travaux  d’assainissement.  

jeudi 23 juillet 2020

Un nid de frelons à la chapelle Saint-Joseph à Ormersviller




Grâce à une intervention rapide et efficace du centre de secours de Volmunster avec le renfort de la grande échelle du CS de Rohrbach  un nid de frelons a pu être enlevé sous le pignon de la chapelle Saint-Joseph d’Ormersviller. C’est un pèlerin qui en a informé le maire Marcel Vogel qui le signala au centre de secours de Volmunster. La sécurité des nombreux  pèlerins et promeneurs est à nouveau assurée. 
J.A.S.

Reprise des visites guidées au Moulin d’Eschviller




Photo J.A.S.

Les guides des Amis du Moulin d’Eschviller se sont réunis sous la présidence de Joseph Meyer à une réunion pour examiner la possibilité de reprendre les visites du moulin et de la scierie.
Malgré les risques liés à la situation sanitaire actuelle, plusieurs guides bénévoles ont accepté de reprendre leurs activités. Vu le nombre restreint de volontaires, ils ne pourront être présents en semaine, mais uniquement les week-ends et les  jours fériés.
Bien entendu, les mesures de distanciation physique et de port du masque devront être respectés. De plus, le maximum de visiteurs est limité à neuf par visite. Les visites guidées débutent à 14 h 30. 
Renseignements au 03 87 9676 40

J.A.S.

lundi 20 juillet 2020

La fontaine coule à nouveau à Eschviller


Photos J.A.S.
Un automobiliste, ayant perdu le contrôle  de sa voiture dans un virage à Eschviller a heurté la tête de la fontaine de la rue du Moulin construite en pierres de taille. Adrien Asfeld, conseiller municipal, et entrepreneur de maçonnerie vient de reconstruire cette tête à l’identique en grès des Vosges. 


Depuis, la fontaine coule à nouveau à la grande satisfaction des habitants du village et du maire Jean-Michel Heckel.

J.A.S.

David Suck, nouveau président de la communauté des communes du Pays de Bitche

Photo J.A.S.

Le mercredi 16 juillet 2020, les élus de la communauté de communes du Pays de Bitche  réunis à Meisenthal, dans la Boîte Noire de  la Halle verrière, ont élu leur président. Francis Vogt avait à  affronter le nouveau maire de Bitche, Benoît Kieffer, maire de Bitche et David Suck, vice-président du conseil départemental et premier adjoint   à Volmunster.
David Suck, vice-président du conseil départemental, président de l’Association mosellane d’économie montagnarde (AMEM), promoteur des produits locaux et des circuits courts, est  arrivé à battre Francis Vogt avec 35 voix, contre 31. Benoît Kieffer avec 13 voix au premier tour, ne s'est plus représenté. David Suck, compte être au service des 46 communes et des 36 000 habitants: "Je peux vous assurer que je serai au service de toutes et de tous et que cette comcom ouvrira une page nouvelle dans la façon de travailler, dans la concertation et dans les commissions. Je souhaite des débats communautaires plus entiers et plus approfondis où celles et ceux qui ne partagent pas la vision de la majorité puissent avoir leur place L’interco a besoin d’un nouvel essor, elle doit pouvoir fonctionner tout de suite et être au service de la population. C’est l’engagement que je prends ce soir et que je tiens depuis un certain nombre d’années à vos côtés. » a-t-il aux élus avant le vote.

Les raisons de son succès

"Depuis 12 ans   je travaille avec les différents élus du territoire. Le signal fort de différentes communes a été le changement d’équipe municipale qui est un  signal fort et inconditionnel   donné par les électeurs. Mes trois priorités, c’est que notre territoire soit reconnu, défendu et apprécié par les habitants, c’est pourquoi il faut une cohésion territoriale que je mets en oeuvre depuis 12 ans. Pour le choix des vice-présidents, j’ai tenu compte de leur travail accompli, leur représentativité et de la qualité de chacun. »

Un élu très actif

David Suck, après son élection en 2008, où il sera le plus jeune  conseiller général, vice-président du conseil général, chargé des routes. En 2015, En il fait à nouveau partie du bureau du Conseil départemental. et devient septième vice-président. Il préside la septième commission, chargée de l’aménagement du territoire, d’aide aux communes, d’environnement et de l’agriculture. C’est une vice-présidence importante pour David Suck, car il a  à traiter  des dossiers d'importance dans le département de la Moselle. Ils concernent le label Mangeons mosellan,  l’environnement, les  deux Parcs naturels, les schémas de cohérence  territoriale, l’établissement public du foncier, l’agence de l’eau du Bassin Rhin-Meuse, la chambre d’agriculture. 
De plus, il fait partie du bureau exécutif avec cinq autres vice-présidents. Il a l'habitude de suivre les dossiers de très près. En tant que président de l'Amem, il est à l'origine de très nombreux marchés paysans dans tout le canton.  Il est également premier adjoint au maire de Volmunster.
 Les 14 vice-présidents

Vincent Seitlinger, élu à 51 voix au poste de 1er vice-président en charge de l'économie et de la culture
Benoît Kieffer 2ème   vice-président en charge du tourisme
Christelle Burgun, 3ème vice-présidente en charge de la petite enfance
François Huver, 4ème vice-président en charge  du cadre de vie et patrimoine bâti
Jacqueline Glad, 5ème vice-présidente en charge de la santé
Serge Weil, 6 ème vice-président en charge du marketing
Serge Stebler 7ème vice-président en charge de la mise en valeur et la protection du patrimoine
Patrick Klein 8ème vice-président en charge des chantiers
Laurent Schrub , 9ème vice-président en charge  de la transition écologique
Alexandre Koelsch , 10ème vice-président en charge des infrastructures numériques
Anne Mazui,  11ème vice-présidente en  charge de la mobilité douce  et des écomobilités
Norbert Dor 12ème  vice-président en charge des équipements sportifs
Cathia Heim, 13ème vice-présidente en charge du PLUI et des outils d’information et de communication  
Gérard Stocky, 14ème vice-président, en charge des services techniques et de l’entretien du patrimoine bâti 
J.A.S.

Marche autour du château du Waldeck


C'est en partant du parking de Hanau que nous avons marché la moitié du circuit d’excellence au tour du château de Waldeck du 13 ème siècle, fermé suite à un effondrement d’un mur. En passant par le sentier de la tourbière de l’étang, nous n’avons pas trouvé le drosera carnivore, par contre   des laîches en masse.
Ce que tout le monde a très apprécié , c’est   le sentier au pied du Erbsenfelsen avec ses rochers qui abritent  les faucons pèlerins et les grands corbeaux, l'accès aux rochers y est interdit pendant la couvaison. Au retour,  nous avons découvert la route des bornes datant de 1605.  C’est la frontière établie entre la Lorraine et le comté de Hanau. D’un côté de la borne, nous avons la croix de Lorraine et de l’autre trois chevrons.


Nous n'avons pas trouvé le drosera pères du ponton.


Sur les différents sentiers on découvre la présentation  des différentes plantes et essences d'arbres qui poussent   autour de l'étang.

 Les marcheurs et à l'arrière plane  le château du Waldeck


La tache blanche ( les fientes) indique l'endroit du nid du faucon pèlerin


La borne de 1605 avec ses trois chevrons


Photos J.A.S.



Des laîches de part et d'autre de la passerelle, et les pins avec un sous-bois en charmilles à l'arrière plan.


 Le donjon du château du Waldeck


Le hameau du Waldeck


Derrière Martine et Sandrine poussent les verges d'or qui sont des plantes invasives.





L'étang de Hanau avec ses 16 hectares est le plus grand étang du Bitcherland




La marche en forêt par 30 ° a donné soif

Texte de Joseph Antoine Sprunck et le reportage photographique final de Christian Freyburger

samedi 18 juillet 2020

Le message du Père François

Évangile  de Jésus Christ selon St Matthieu 13 24–43

« En ce temps-là, Jésus proposa cette parabole à la foule : « Le royaume des Cieux est comparable à un homme qui a semé du bon grain dans son champ. Or, pendant que les gens dormaient, son ennemi survint ; il sema de l’ivraie au milieu du blé et s’en alla. Quand la tige poussa et produisit l’épi, alors l’ivraie apparut aussi. Les serviteurs du maître vinrent lui dire : “Seigneur, n’est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?” Il leur dit : “C’est un ennemi qui a fait cela.” Les serviteurs lui disent : “Veux-tu donc que nous allions l’enlever ?” Il répond : “Non, en enlevant l’ivraie, vous risquez d’arracher le blé en même temps. Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ; et, au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Enlevez d’abord l’ivraie, liez-la en bottes pour la brûler ; quant au blé, ramassez-le pour le rentrer dans mon grenier.” » Il leur proposa une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a prise et qu’il a semée dans son champ. C’est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel viennent et font leurs nids dans ses branches. » Il leur dit une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable au levain qu’une femme a pris et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. » Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles, et il ne leur disait rien sans parabole, accomplissant ainsi la parole du prophète : J’ouvrirai la bouche pour des paraboles, je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde. Alors, laissant les foules, il vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. » Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ; le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais. L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-til à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume toutes les causes de chute et ceux qui font le mal ; ils les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »
Voilà une parabole qui mérite toute notre attention et qui doit nous amener à un examen de conscience. Trop vite nous mettons sur le compte de Dieu ce qui relève de notre responsabilité. Dans le récit de la création, au livre de la Genèse, Dieu créa l’homme : libre et responsable. Et si je veux être, un tant soit peu honnête, je n’ai pas besoin de chercher midi à quatorze heure, ma conscience me dit bien si j’ai bien ou mal agi ! Le bien ou le mal découlent de mon libre choix et je dois l’assumer.  Le Dieu que nous appelons « Bon Dieu » ne peut que vouloir le bien de chaque être qu’il a créé à son image, à sa ressemblance. Ainsi, Il met à notre portée un chemin de vie qui nous mène au vrai bonheur, c’est l’annonce de la Bonne Nouvelle que nous entendons chaque dimanche. Malheureusement sur ce même chemin, le « Malin » : l’esprit du mal, l’ivraie, nous fait miroiter un bonheur fictif et nous fait croire que je suis le meilleur et que le mal, c’est toujours l’autre. Le « Malin » est d’une habileté, comparé au serpent qui se faufile sournoisement dans nos vies pour nous dévier du bon chemin. 

Après trois mois de confinement on entend : « Maintenant on va s’éclater…on veut vivre….on va rattraper le temps perdu… » Il y a eu la fête de la musique le 21 juin, et le même scénario dimanche dernier sur la promenade des anglais à Nice, ainsi que la rave dans la Nièvre. Au loin les masques ! On oublie que l’ivraie, le coronavirus est toujours à l’œuvre. On ne respecte plus les consignes du masque. Sommes-nous naïfs, « folos » et irresponsables à tel point de ne pas prendre à cœur les consignes sanitaires ? Sans le vouloir, nous pouvons être porteur de mort. Porteur de mort quand on prend le volant ivre et drogué. C’est ce qui est arrivé au gendarme Mélanie Lemée âgée de 25 ans, tuée par un chauffard de 26 ans. Oui, l’ivraie, le « Malin », est bien présent dans cette escalade de violence, racisme, communautarisme, en somme non-respect de toute personne humaine. J’ai de la peine à comprendre qu’une responsable du gouvernement dit à propos de l’infirmière qui jette des pierres sur les policiers : « Je ne saurais expliquer à mes enfants qu’il est permis ou non de jeter des pierres sur les policiers. » Elle a juste oublié de rappeler à ses enfants que jamais, on ne jette des pierres sur autrui. 
Et quand on se sent incapable de remédier au mal, on voudrait que Dieu réagisse de suite. Il faudrait qu’il récompense les bons et punisse les mauvais, au fur et à mesure de leurs actions.
Dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus nous dit que ce n’est pas l’objectif de son Père. Dieu est bon, et on l'appelle le « Bon Dieu ». Comme le semeur de la parabole, il veut récolter du bon grain et non pas régler des comptes. Il laisse pousser l'ivraie avec le bon grain. Comme le Dieu de la Bible, il fait pleuvoir chez les mauvais comme chez les bons. Plusieurs paroles de Jésus, plusieurs textes de la Bible nous révèlent la patience et la douceur de Dieu. C’est un Dieu Miséricordieux qui nous dit :     « Je ne te condamne pas, va et ne pèche plus. » « Je ne suis pas venu pour les bien portants, mais pour les malades. » «N'éteignez pas la mèche qui fume encore. » « Toi Seigneur, qui disposes de la force, tu juges avec indulgence, tu gouvernes avec beaucoup de ménagement,... à ceux qui ont péché, tu souhaites qu’ils se convertissent ». Oui, nous avons du mal à réaliser et à bien comprendre que Dieu est un « Bon Père ». 

François, prêtre retraité