mercredi 30 septembre 2020

Reprise des cours de gymnastique



Les cours de gymnastique animés par Jean-Luc CRAMER reprennent le lundi 5 octobre 2020 à 20h salle Emile Gentil. En raison du contexte sanitaire, du gel hydroalcoolique sera mis à disposition à l'entrée. Les participants voudront bien se munir d'un tapis de sol personnel.

Le tarif est de 28 euros par trimestre.

mardi 29 septembre 2020

Marché ce vendredi à Volmunster

 


Un nouveau livre " Demain est-il ailleurs" de Samuel Nowakowski et Bruno Cohen

 Samuel Nowakowski et Bruno Cohen nous annoncent la sortie prochaine de leure livre paru chez FYP EDITIONS "Demain est-il ailleurs ? Une odyssée urbaine autour de la transition numérique" 





Ce livre est un objet singulier, hybride, frontière, qui invitera le lecteur à s’interroger sur les grands enjeux des transitions sociales et culturelles consécutives à la révolution numérique. Il cherche à éclairer, à hauteur d’homme, les commentaires et les analyses, la perception de chacun en mobilisant largement les apports scientifiques, culturels et philosophiques des auteurs. 

Demain est-il ailleurs ? Simple en apparence, cette question, qui donne au livre son titre, interroge d’une manière poétique et culturelle le sens de ces mutations, de ces transformations numériques à l’heure de la dégradation majeure de nos environnements et souligne combien la transition est avant tout de la relation.


samedi 26 septembre 2020

Don deux sabres à la ville de Bitche


 


Lors de la commémoration du cent cinquantième anniversaire du siège de Bitche, lors de la guerre de 1870,  Joël Beck, président de la section de  la Société  d’histoire et d’archéologie de Bitche (SHAL), a remis au maire de Bitche deux sabres, acquis par la SHAL, pour dépôt à la citadelle. Ils ont appartenu au Colonel Teyssier défenseur du site.Il faut rappeler que la SHAL  de Bitche  les a acquis en janvier 2020  chez Me Farbos à Pamiers (Ariège) Ils sont tous les deux marqués de nom du Colonel Teyssier.  Le premier est un sabre d’officier modèle 1821. Le second sabre d’Infanterie modèle1845 présente une belle monture ajourée avec une poignée de corne filigranée de la  manufacture royale de Châtellerault.

 

J.A.S.

Mission locale

 




Les annonces des Ctés Sts Pirmin et J-M Vianney

 

















vendredi 25 septembre 2020

Retour de l’eau dans l’étang du Moulin d’Eschviller

 

Photo J.A.S

Les agents de la communauté des communes terminant les travaux d'adduction d'eau.


Suite à un entretien négligé du site, l’étang du Moulin d’Eschviller à sec   avait été envahi par les  salicaires officinales. Après le nettoyage de l’étang  et de la canalisation d’alimentation par une source au pied d’un calvaire, l’étang se remplit à nouveau d’eau depuis le jeudi 24 octobre. Ce n’était par la source qui avait tari, mais la canalisation  était bouchée. Les agents de la communauté des communes ont dû  nettoyer manuellement la canalisation envahie par les racines d’un saule têtard. C’était une opération très difficile à réaliser. 


J.A.S.

La BD « La Moselle déracinée » est historique et émouvante.

 



Charly Damm et François Abel  ont réussi dans la BD « La Moselle  déracinée », non seulement à raconter la tragique histoire de la Moselle de 1939 à 1945, mais aussi celle  des familles qui ont vécu cette douloureuse période et souffert dans leur chair.  Cela commence par l’évacuation en 1939, les expulsions, les déportations, les incorporations de force et cela se termine par la libération en 1945, suivie du retour de tous les déplacés et la reconstruction des maisons détruites. La BD sera présentée lors de la Foire Internationale de Metz.

 

L’évacuation en septembre 1939


Le scénario de Charly Damm illustré par François Abel, met le lecteur en situation réelle de cette triste période.

Cette évacuation a très souvent été commentée durant les veillées d’hiver après guerre. Quitter sa maison avec 30 kg alors que le mari est mobilisé pour rejoindre la Vienne ou la Charente, en chariot, puis en train à bestiaux est une  grande épreuve. Être logés dans des maisons, sans toilettes et devoir cuisiner dans un chaudron est une déception inoubliable pour toutes les femmes, dont beaucoup étaient devenues chèfes de famille. Cet exode se déroule devant les yeux du lecteur comme un film et nous remet en situation réelle.  De plus, la plupart  ne pouvaient pas communiquer correctement avec leurs hôtes ne sachant pas parler le français.  Et pourtant, à la fin, ils ont sympathisé et se sont aidés mutuellement.  


Une période instable et dangereuse


A leur retour en 1940, les Alsaciens-Lorrains sont contrôlés à Saint-Dizier, certains sont refoulés, car ils sont indésirables. Après le retour,  c’est la grosse surprise, ils redeviennent allemands et sont sous la coupe de Josef Burkel , administrateur de la la Moselle. Les enfants suivront la classe en allemand.

Burkel veut aprivoiser les Mosellans, éliminer l’influence de l’église, briser l’unité  de l’Alsace Lorraine, l’agrandir et germaniser tout le territoire. Tous ceux qui ne suivent pas sa consigne, il les expulse. Il en est ainsi de l’évêque de Metz, de nombreux prêtres, des francophones, des Français de l’intérieur, des juifs, des assistés, tous ceux qui critiquent Hitler…





Pérégrination d’une famille du Bitcherland


A la fin de  l’ouvrage, Charly Damm, raconte l’histoire vraie de la famille d’Antoine Sprunck d’Ormersviller.  Elle est  évacuée en Charente alors qu’Antoine, père de cinq enfants, est mobilisé. Il laisse à la maison son épouse Agathe, Yvonne 14 ans, René 13 ans et Joseph 6 mois.   Marie-Thérèse 10 ans et Valérie 7 ans,  sont en vacances en Alsace et seront séparés de leurs parents pendant tout le séjour en Charente. Après sa démobilisation à Noël 1940, Antoine va travailler à l’usine à Ruelle, puis en septembre c’est le retour au pays. Surprise, le train s’arrête à Sarrebourg, mais Antoine et d’autres retournent au Bitcherland. En novembre, les militaires allemands  expulsent près de 9 400 habitants de 18 communes dans le Saulnois et la région messine. Ils  devront remplacer les francophones expulsés.   Antoine devient gérant d’une ferme  à Manhoué. En 1944, son fils René est incorporé de force à 18 ans. Le 30 septembre 1944, la famille est évacuée à Nancy où elle passe l’hiver, puis  le 15 mars 1945 elle rejoint Dieuze où Antoine va travailler  dans une scierie. La famille ne pourra rentrer  à Ormersviller que le premier avril 1946, et habitera dans des baraquements jusqu’en 1954 et Antoine doit recommencer à zéro son exploitation agricole.


Joseph Antoine Sprunck

jeudi 24 septembre 2020

Nouveau mandat pour Valérie Vogel

A l’assemblée générale de l’Intersociété d’Ormersviller qui s’est tenue dans la salle Joseph de Bexon,  la présidente   Valérie Vogel n’a pas manqué de rappeler l’annulation de toutes  les grandes manifestations à cause  de la pandémie de la Covid-19. L’Entente sportive d’Ormersviller -Epping a tout de même réussi à organiser avec succès sa soirée pizza dans le respect des règles sanitaires. Début septembre, les Aînés ont  dénoyauté des quetsches et cuit du Schlaeggel.  Ils ont réussi à vendre tous les pots de Schlaeggel sans organiser le Quetscheschlaeggelfescht. La présidente a remercié les membres sortants qui ont œuvré de longues années au sein des associations locales. Elle a également souligné leur engagement et leur disponibilité pour aider dans les différents clubs du village. 




Entrée des nouveaux conseillers municipaux  


Suite à l’élection municipale, de nouveaux conseillers sont entrés au comité de l’intersociété et s’occupent essentiellement de la gestion des deux salles communales.Valérie Vogel est réélue présidente. Irène Fogel gère désormais les réservations de la salle communale et la salle Joseph de Bexon. Elle est secondée par Claude Heim. Les membres de l’association des parents d’élèves distribueront les brioches de l’amitié au mois d’octobre.

Le calendrier des manifestations 2021 a été établi,. Toutefois, les manifestations ne pourront être  organisées  sous réserve d’une amélioration de la situation sanitaire. Une nouvelle réunion est prévue en début de la nouvelle année.


Nouveau comité: Valérie Vogel (présidente, Claude Heim (vice-président), Fabien Sprunck (secrétaire) Séverine Lepezel (secrétaire-adjointe) Irène Fogel (trésorière), Patrick Vergnaud trésorier-adjoint), Gilbert Zahm, Marie-Mathilde Andrès, Edmond Houth, Anne-Marie Heim, Marcel Vogel, Patrick Hoellinger (assesseurs)


J.A.S.

mercredi 23 septembre 2020

Mission locale


La Mission Locale vous informe que la permanence du lundi 28 septembre 2020 en mairie de Volmunster et reportée au lundi 05 octobre 2020 de 14h à 16h.

 Les prochaines permanences se feront comme d’habitude le 4ème lundi du mois de 14h à 16h 

Singulier destin d’un malgré-nous

 


Dans son livre « Quand Louvigny s’appelait Loweningen »,  Emile Beck  raconte l’histoire des habitants du Bitcherland  transplantés de force pour remplacer les francophones expulsés en novembre 1940. Il y  évoque  l’histoire singulière  de son cousin Edmond Beck, tous deux originaires d’Eschviller, annexe de Volmunster. 



 L’abbé Emile Beck, aumônier militaire à la  retraite, évoque la vie des Siedler, dans son livre "Quand Louvigny s’appelait Loweningen"


Le 6 octobre 1940, les habitants de Volmunster, évacués en septembre 1939 à Sigogne, ont repris  à nouveau le train en wagons à bestiaux   pour rejoindre le Bitcherland, alors qu’une centaine ont décidé de rester en Charente. Arrivés en Moselle, on les débarque dans le couvent de Lettenbach, puis plusieurs familles sont acheminées  le jeudi 21 novembre 1940 à Louvigny, dont les familles des frères  Jean et  Daniel Beck. Le même jour, les habitants francophones de Louvigny sont expulsés dans le Sud.


Edmond s’engage chez FFI


En 1942, Edmond, 18 ans,  ne s’entendant pas avec son père Jean Beck, mais en accord avec sa mère décide de retourner en Charente où il avait été évacué. Il fait très vite des rencontres  avec des résistants, les FFI. Ces derniers sont chargés de fournir  des renseignements à Londres. Comme, la capitale anglaise était   bombardée par des escadrilles d’avions partant de l’aéroport de Metz-Frescaty, il fallait avoir de nombreux renseignements.  


Edmond engagé comme espion


Comme Edmond avait de la famille à moins de 20 km de Metz et qu’il était bilingue, il était tout désigné pour remplir cette mission. C’était le candidat idéal. Il arriva sans problème à la mi-avril 1943 à Louvigny et se cacha chez son oncle Daniel sans le  dire à son fils Emile, 10 ans,  Revenant de l’école alors que ses parents sont dans les champs, Emile voit un homme courir dans le couloir et pousse un grand cri alors qu’un gendarme allemand passe devant la maison et vient à son secours. Il   trouve Edmond, le questionne et le fouille et trouve des documents compromettants. Pour échapper à la condamnation à mort, les gendarmes lui proposent une alternative: accepter et signer sur le champ son engagement volontaire dans la Waffen SS. Un sacré dilemne. Que va-t-il faire?


Emile Beck raconte par ailleurs  dans le livre  « Quand Louvigny s’appelait Loweningen » ce qu’ont vécu de 1940 à 1945, les habitants du Bitcherland, évacués, spoliés, dont certains sont devenus Siedler et   ainsi que la poignante histoire de Edmond, le résistant et son dénouement.


Les livres sont disponibles chez Emile Beck, 7, rue du Muguet 57530 Courcelles-sur-Nied 


J.A.S

lundi 21 septembre 2020

Nouvelle formation pour les apiculteurs

L’association écologique du rucher école du moulin d’Eschviller, présidée par Robert Walther a clos son année apicole de formation en août par une remise des diplômes aux 23  apiculteurs-stagiaires le 8 août à la salle Zoller du Moulin d’Eschviller.  Elle vient de mettre  au point  le nouveau  cycle  de stages pour des apiculteurs en proposant quatre modules.

Une formation assurée malgré la Covid-19



Le président Robert Walther remettant  le diplôme à une nouvelle apicultrice

La Covid 19 n’aura pas eu raison de la détermination des apiculteurs de Moulin d’Eschviller lorsqu’en mars,   ils ont perdu un camarade de cordée, Jean Claude Moulay.  Très vite les stagiaires se sont manifestés pour émettre l’idée de poursuivre la formation. Les apiculteurs ont réorganisé la formation pour répondre aux règles de distanciation physique et partageant le groupe en deux. Soit une le matin, l’autre l’après-midi. Ces 23 valeureux apiculteurs en herbe ont bien sûr tous été reçus à leur examen final. 



Simon Gross, apiculteur formateur remettant  le diplôme à sa fille Mathilde

Organisation de l’année apicole

Tout en assurant l’accueil du public au rucher, les apiculteurs bénévoles se sont attelés au lourd dossier de l’organisation de l’année apicole 2021. Une réunion de travail le 9 septembre a permis de faire le point sur l’année écoulée et de se projeter dans celle à venir bien sûr si le virus le permet.

La campagne de recrutement pour la formation 2021 bat son plein depuis quelques au point d’exploser toutes les espérances. En effet, l’intérêt pour l’apiculture a le vent en poupe en raison sûrement des fortes perturbations climatiques que nous subissons, mais également les travers de l’agriculture conventionnelle.
Une trentaine de candidats  se sont déjà inscrits, mais  la recrudescence du virus demande  à revoir la programmation habituelle. Il faut prévoir des groupes plus petits, des mesures d’hygiène et de distanciation plus drastiques.



Les apiculteurs du Moulin d'Eschviller en train de vérifier les ruches entreposées au verger de démonstration

Quatre modules

L’association propose  4 modules de formation :
1er : la formation initiale en 40 heures limitée à 20 personnes s’adressant de préférence aux candidats non propriétaires de ruches.  De décembre à août à raison de 4 heures par mois. Les formateurs s’engagent à  respecter les contraintes dictées par la fédération des apiculteurs.
2ème : la formation en alternance en 20 heures avec un tuteur pour des candidats possédant des ruches. Elle se fera en plusieurs  séquences    où l’on abordera les questions réglementaires, sanitaires, la biologie de l’abeilles et les techniques de conduite des ruches. Elle sera limitée à 10 personnes.  

3ème: la formation à l’élevage de reines selon la méthode « Alley », technique adaptée à l’apiculteur amateur et ne nécessitant pas un gros investissement.Elle consiste en une formation aux techniques et ensuite à la mise en pratique de l’élevage  

4ème: le retour sur expérience qui concerne les candidats 2020 lâchés dans la nature avec un bagage consistant mais inexpérimenté. Un sondage courant juillet permettra de faire le point des questions à résoudre et en septembre une après sera consacrée à ce débat formation.

Un film sur l’élevage des reines

Après avoir bouclé cette programmation les formateurs se sont attelés à leur projet « Élevage de reines » pour le finaliser et proposer avant Noël le film tant attendu.   Ce film sera disponible dans différents points de vente, le magasin du moulin, l’office de tourisme de Bitche, les membres du comité de l’association, les syndicats apicoles de Bitche, Rohrbach et Sarreguemines. 

Renseignements: tél. : 06 89 93 83 53 ou 06 82 24 67 95 ou  03 87 96 61 80 , robertwalther52@gmail.com

La chapelle des Saints à Schweyen


Sous la conduite d'Adrien Schreiber, 
ils étaient à quinze à découvrir la chapelle des Saints, qui en réalité n'est qu'un oratoire. Elle est située dans la forêt de Schweyen. Cet oratoire a pu exister en ce lieu dès le XVIIIe siècle et aurait été en partie reconstruit en 1883, date portée sur la façade. Elle a été détruite lors de la dernière guerre, mais elle fut reconstruite en 1955. Ils sont également passés par la campagne et par un quartier de Rolbing.


J.A.S.

samedi 19 septembre 2020

Le destin des Châteaux des Vosges du Nord



 L ’Association Confluence a fait une sortie sur le site du château de Schoeneck à Dambach où une  équipe de bénévoles consolident depuis  l’an 2000 les murs. Ils sont très passionnés, ils ne veulent pas que temps  transforme   le château en un tas de pierres, comme c’est le cas de nombreux châteaux. Depuis qu’un mur s’est effondré au  château de Waldeck à Eguelshardt, on ne peut plus le visiter.



Les membres ayant participer à cette visite unique d'un château en  reconstruction

Une association de bénévoles


L'association Cun Ulmer Grün, créée en 2000 par un tailleur de pierre, Jacques Bruderer, a pour but préserver et mettre en valeur le château de Schoeneck. Grâce à son dynamisme et sa passion  pour les châteaux des bénévoles passionnés y travaillent toute l'année, hiver comme été, pour consolider et reconstruire les nombreux murs. Comme il est inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques, les travaux de consolidation sont effectués dans les règles de l'art par ces bénévoles dont plusieurs sont tailleurs de pierre et maçons professionnels. D’autres membres d’association,, comme les scouts y ont travaillé durant toute une semaine. Les fouilles archéologiques sont effectuées pour une meilleure compréhension du lieu, avec à l'appui la Maison de l'Archéologie de Niederbronn et son conservateur, archéologue. 

Jusqu’à son démantèlement définitif en 1680 par les troupes françaises, il a été maintes fois détruit et reconstruit.  



Une réelle reconstitution



Deux maçons bénévoles reconstruisant une tour


Grâce aux travaux déjà exécutés, les visiteurs peuvent découvrir à l’entrée un bastion équipé de canonnières, une barbacane, une enfilade de portes dont la première est équipée d’une poivrière, un rempart avec des mâchicoulis dans un état exceptionnel, une tour octogonale de flanquement en cours de restauration, un puits, une cave voûtée…  

Cette visite guidée par Marc Schampion, secrétaire de l’association a fait forte impression quant à l’engagement des bénévoles.


Pourquoi de nombreux  châteaux ont-ils été détruits?


 Quand la Suède cède à la France ses conquêtes alsaciennes, en 1648, le roi Louis XIV s'inquiète de ces châteaux de familles qui échappent à son contrôle. Il ordonne de réduire les forts qui survivent et qui pourraient, à un moment ou un autre, constituer des nids de résistance. Alors les places tombent, les donjons sont détruits à l'explosif. Il en est de même en 1697, Louis XIV doit rendre la Lorraine  suite au traité de Ryswick au Duc    légitime Léopold 1er. Avant de repartir  les châteaux  ont été détruits ainsi que la citadelle de Bitche. 


Joseph Antoine Sprunck

mercredi 16 septembre 2020

Reprise des activités au Colimaçon à Volmunster

 

Photo J.A.S.

 Tout doucement les activités reprennent au Colimaçon. Lors de la dernière  réunion du comité, présidée par Pierrot Schaff, il a été décidé de relancer les activités. Pour l’instant, seules ont repris les sections de randonnées chaque deuxième dimanche avec Daniel Schurter et les séances de yoga le lundi à 18 h à la salle Léon Blot . Prochainement reprendront les entraînements de l’équipe de tennis de table, la gymnastique, le Scrapbooking  et les jeux de société. Par contre, la marche populaire prévue en novembre est annulée en raison de la crise sanitaire. Frédéric Wagner sera le responsable de la section de Badminton, Noémie Guede de celle du Scrapbooking et Marie-France Schwartz des jeux de société. Le samedi 19 septembre  les membres du comité du Colimaçon sont invités pour le rangement du foyer. L’assemblée générale est fixée au vendredi 16 octobre à 19 h 30  au Colimaçon.


J.A.S.


lundi 14 septembre 2020

Première communion pour vingt jeunes de la communauté de paroisses Saint-Pirmin

Photo J.A.S.

Dimanche matin, en l’église Saint-Pierre de Volmunster 20 jeunes originaires de la communauté de paroisses Saint-Pirmin ont fait leur première communion lors de la messe dominicale,
  célébrée par l’abbé Stéphane Pontello, curé.   La chorale Saint-Pierre, sous la direction de Jean-Marie Langbour   ont  rehaussé l’office par leurs chants. Ils ont été préparés par les mamans qui approfondissaient le cours de religion suivi à l’école élémentaire.

J.A.S.

samedi 12 septembre 2020

La Poste à nouveau ouverte tous les jours

  

Photo J.A.S

A la grande satisfaction des habitants  du secteur, la Poste  de Volmunster est à nouveau ouverte tous les jours de la semaine aux horaires suivants: les lundi, mercredi et vendredi de 9 h à 11h45  et de 13 h 30 à 16 h, le. mardi de 9 h 15 à 11 h 45, le mercredi de 9 h, le jeudi de 9 h à 11h 45 et le samedi de 9 h à 12 h.

jeudi 10 septembre 2020

30 ans de randonnées au Colimaçon

La section de randonnée du Colimaçon   a été lancée le dimanche  2 septembre 1990 par Joseph Sprunck. L’objectif  a toujours été d’organiser par an 25 randonnées d’une dizaine de kilomètres pour découvrir le riche patrimoine du Bitcherland. Pour cet anniversaire, Rachel et Sylvain Oswald ont concocté une belle sortie pour les quinze participants.  Les deux guides ont fait découvrir au groupe le hameau  idyllique  de Wengelsbach    ainsi que les deux châteaux du Wasigenstein et le Blumenstein.





Un hameau isolé


Jusqu’en 1936, aucune route n’y menait à  partir de la France. Pour y accéder, il fallait passer par l’Allemagne.   Vers 1960, ils étaient  débuta l’exode.  Les uns après les autres, les jeunes, attirés par la ville ont quitté le hameau, laissant derrière eux leurs parents âgés et la terre  de leurs ancêtres. Depuis une dizaine d’années  une nouvelle population  s’y est installée. Séduits par le charme de ce lieu bucolique, des vacanciers et des retraités citadins sont venus pour trouver le calme pour passer une  retraite au milieu de la nature.


 Visite de deux châteaux

 

Sur le circuit  le groupe a visité les châteaux du Wasigenstein et le Blumenstein. Le Blumenstein est un petit châtelet datant du XIIIème siècle, construit sur une roche gréseuse.  Le Wasigenstein est un château composé de deux parties principales, le Petit Wasigenstein et le Grand Wasigenstein.  

Après la visite d’une chèvrerie, le groupe s’est retrouvé dans un restaurant    de Obersteinbach pour y déguster d’excellentes tartes flambées.


J.A.S.

mercredi 9 septembre 2020

Les Aînés d'Ormersviller ont cuit du Schlaeggel, mais annulent la fête

 


En raison de la crise sanitaire, l’Association des Aînés d’Ormersviller, présidée par Patrick Vergnaud, n’organisera pas de Quetscheschlaeggelfescht le dimanche 27 septembre. Par contre, ils cuiront du Quetscheschlaeggel. Ils étaient plus de vingt à   travailler  durant deux jours à dénoyauter à la  salle socioculturelle et à cuire le Schlaeggel à l’extérieur sous une tente. 


Acquisition d’un nouveau chaudron


Grâce à l’acquisition d’un nouveau chaudron en cuivre, ils cuisent depuis cette année avec  l’ancien et le nouveau. Ainsi  la durée de travail est réduite de  deux jours. Elle a duré   du mercredi 9 septembre à 8  h au jeudi soir à 20 h.  


Photos J.A.S.

Cela a été un travail plus rapide, mais plus intense pour ceux qui ont dénoyauté.



Marie et Lucien Heckel  ont été les doyens  parmi ceux qui ont dénoyauté

Pour le nouveau chaudron l’ancien président Rémy Meyer à réaliser un nouveau remueur en bois.  




Une équipe de six hommes se  sont relayés nuit et jour  pour remuer  la cuisson dans les chaudrons de cuivre. Dès que la cuisson  d’un chaudron était terminé, le Schlaeggel est aussitôt versé dans les bocaux, et l’on a recommencé une nouvelle cuisson. Les amateurs de cette délicieuse marmelade peuvent en commander au 03 87 96 75 02.


J.A.S.


Pas de fête de la pomme au Moulin d’Eschviller

 

Photo J.A.S.


On venait surtout à la fête de la pomme pour acheter des fruits de saison et déguster les plats culinaires paysans


Créée en 1998 par les Amis du Moulin d’Eschviller, la  fête de la pomme qui est toujours organisée le deuxième dimanche d’octobre, est annulée cette année en raison des restrictions sanitaires dus à la  Covid- 19. Il faut rappeler que cette fête, où l’on pouvait acheter des pommes,  des produits du terroir et déguster des spécialités culinaires  paysannes a toujours attiré toujours plusieurs milliers de personnes. Il en fut de même pour la fête des saveurs  et de la moisson qui devait  être organisée en juillet. Par contre les guides du moulin ont fait un gros effort  pour reprendre les visites guidées et commentées fin août, vu que les visites libres n’étaient pas très appréciées par les visiteurs.


J.A.S.



Rénovation du toit de la chapelle de Weiskirch

 

La commune de Volmunster  vient de réaliser la rénovation de la toiture et des chenaux de la chapelle de Weiskirch. Ces travaux ont été exécutés par l’entreprise Michel Burger d’Eguelshardt  pour 28 031 €. La municipalité envisage également faire ravaler les façades pour 21 480 €.




Chapelle construite sur la route du sel 


La chapelle de Weiskirch est dédiée à la Visitation. Elle a été construite en 1789, Elle a remplacé celle qui était tombée en ruines suite à la guerre de Trente ans. C'est  la chapelle de Weiskirch qui a servi d’église  paroissiale à partir de  mai 1945 jusqu'à la construction d'une église-baraque à Volmunster. Lors des travaux d’assainissement en 1988, dans l’ancien cimetière deux vases de 14 ème siècle ont été trouvés.  Alors que l’un contenait 388 pièces  en argent et   le deuxième  en avait 336. Elles dataient toutes de 14 ème siècle. Il faut rappeler que la chapelle a été construite à proximité d’une ancienne voie qui reliait Rimling, où se croisaient la route du sel et celle des Flandres. Les différentes pièces  avait été frappées par Philippe IV le Bel, l’Archevêque  de Trèves, la Cité de Strasbourg et des ateliers incertains.  


Joseph Antoine Sprunck

mardi 8 septembre 2020

Ouverture du marché reportée à Volmunster


 

Lors d’une réunion entre l’ Association mosellane d’économie montagnarde (AMEM), Jean-Michel Heckel, maire de Volmunster et Jean-Luc Maurer,  président de  l’Intersociété, il a été décidé au vu de la situation sanitaire et de la participation de nouveaux producteurs, de reporter le démarrage du Marché Hebdomadaire. Les organisateurs réfléchissent également à une périodicité autre qu’un marché hebdomadaire. Ce vendredi il n’y aura donc pas l’ouverture du marché sur la Place de la mairie. 


J.A.S.