A l'école maternelle Le Petit Prince à Volmunster, on sèche le linge à la fenêtre.
Marie Behr fête aujourd'hui ses 95 ans, elle passe sa retraite chez sa fille Angèle Meyer. Aussi longtemps qu'elle était en forme elle entretenait le potager de sa fille durant la belle saison.
Il faut rappeler qu'elle a une arrière-arrière-petite-fille Noémie qui est née le 18 octobre 2021, premier enfant de la famille de Julie Richard et de Kevin Fath. Cela été une joie immense pour Marie, devenue arrière-arrière grand-mère. La venue de son fils Pierre 74 ans, sa petite fille Sandrine 50 ans et de son arrière petit-fils Kévin 28 ans ont permis de rassembler cinq générations.
J.A.S.
La clanche originale de la porte d'entrée de l'église de Loutzviller
Dès le Ier siècle, les premiers chrétiens, lors des persécutions romaines, avaient choisi, en signe de reconnaissance, le symbole du poisson, et ce pour plusieurs raisons. La raison principale réside dans le fait que les premiers chrétiens ont vu dans le terme grec ICHTUS un acronyme, c’est-à-dire, un mot formé à partir des initiales de plusieurs autres mots. Effectivement, les lettres composant le mot « ICHTUS » (ἰχθύς ) peuvent signifier « Jésus Christ Fils de Dieu Sauveur » :
I : Ἰησοῦς / Iêsoûs : Jésus
Χ : Χριστoς / Khristòs : Christ
Θ : Θεοῦ / Theoû : de Dieu
Υ : Υἱoς / Huiòs : Fils
Σ : Σωτήρ / Sôter : Sauveur
Emmanuel Arguera
Lors de leur dernière sortie les randonneurs du
Le groupe été accueilli par André Henner et Xavier Michel qui nous ont fait découvrir, le village avec
La Place de la Fraternité
La source à Loutzviller |
André nous a fait visiter garage rempli de toutes sortes d’antiquités vendues au profit d’une
A Volmunster, alors qu’une classe de la maternelle est fermée pour non remplacement, tous les enseignants des deux écoles font fait grève le jeudi 27 février 2022. Cela concerne également les élèves des communes de Breidenbach, Lengelsheim, Loutzviller, Schweyen et Nousseviller-lès-Bitche qui font partie du regroupement pédagogique. Un service minimum de garde des élèves fonctionne au périscolaire pour les parents qui ont envoyé les enfants.
J.A.S.
Le choeur avant 1939 avec les deux autels latéraux
Le beau baldaquin baroque
L’église est reconstruite en 1737 et dédiée à la Sainte Trinité.
Le maître-autel bois peint et doré de l’église, construit en 1740 a été attribué au sculpteur. Jean Martersteck. Le devant de l’autel représente la cène réalisée en 1755 par un sculpteur d’Arlon (Belgique) Jean-Claude Mercenier. Le baldaquin, formé de six colonnes torses, qui supportent le dais, a une hauteur de 15 m. Cette oeuvre monumentale présente une réelle qualité, grâce à la richesse de ses belles sculptures.
Son sauvetage
Après la déclaration de la guerre et le départ des habitants en Charente le 1 er septembre 1939, le curé de Soucht l’abbé Jean Drexler, originaire de Loutzviller, a eu l’idée de sauver le magnifique baldaquin avant l’affrontement des armées françaises et allemandes. Il a une hauteur de 15 m avec son dais et la croix. Pour le démonter de la paille a été disposée sur une hauteur de 30 m autour de l’autel. Une corde fixée en haut du baldaquin a été tirée par un cheval pour le renverser sur la paille. Le baldaquin, bien assemblé avec des chevilles en bois, a bien résisté au choc. Une fois démonté, l’ensemble du baldaquin et l’autel a été transporté en pièces détachées à Soucht et entreposé dans cinq granges différentes. C’est le 14 août 1946 que l’ensemble a été récupéré à Soucht et entreposé dans différents endroits à l’initiative du curé Jean-Pierre Neu. Le transfert a coûté 8000 F. Après la reconstruction de l’église de la Sainte Trinité, l’autel et le baldaquin ont été remontés. L’architecte avait donné de mauvaises mesures pour la hauteur du plafond. Il manquait 80 cm pour le dais et la croix. C’est pourquoi il a fallu couper un morceau la croix et aux différentes colonnes.
Lors du remontage, tout le monde constata que les différentes pièces n’avaient pas bougé et se rassemblaient correctement.
Reconstruite en 1737, l’église dédiée à la Sainte Trinité a été à nouveau détruite durant la deuxième guerre mondiale. Elle a été reconstruite en 1959 et consacrée en 1962 par Mgr Paul-Joseph Schmitt, évêque de Metz
Joseph Antoine Sprunck
La Place de la Fraternité de Loutzviller a été aménagée après la dernière guerre.
Beaucoup se posent la question, comment se fait-t-il que certains villages du Bitcherland ont une place publique au milieu de la localité.
Quand un village était détruit à plus de 75 % en 1945 , un plan d’urbanisme était obligatoire. L'Etat exigeait un plan d'urbanisme. C'est surtout le cas de plusieurs villages situés dans la partie agrandie du camp militaire de 1940 à 1945. Cette zone était un véritable nomad's land durant l’occupation allemande.
Dans chaque projet proposé, il fallait la rectification de la voirie, la création d’un réseau d’eau potable, la création d’une place publique et un terrain de sport pour les élèves de l'école. Les fermes n'avaient plus droit d'être mitoyennes, c'est pourquoi une zone d'expansion était prévue.
J.A.S.
Le saviez-vous?
Votre corps fonctionne un peu comme le moteur d’une voiture hybride : il peut produire son énergie avec de l’essence (les glucides), ou avec de l’électricité (les lipides).
Évangile de Jésus Christ selon St Luc 4 21–30
« En ce temps-là, dans la synagogue de Nazareth, après la lecture du livre d’Isaïe, Jésus déclara : «Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. » Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? » Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” » Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays. En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ; pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère. Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. » À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas. Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin. »
Le 19 janvier dernier, dans le Jura, quatre jeunes ont trouvé la mort, quand leur voiture a sombré dans le lac de Chalain. Ce drame ne fait que rallonger la liste noire des accidents mortels de nos jeunes. Comme tous les jeunes de leur âge, ils aspiraient à faire la fête, à la tendresse, à l’amitié et à la réussite. Mais combien de jeunes aujourd’hui ont perdu repères et sens à leur vie. A la différence de Jésus et des générations passées, les jeunes d’aujourd’hui ont grandi avec des jeux électroniques, IPhone… dans les mains. Ils sont marqués par tout ce qui est virtuel et ne voient plus la distance avec le réel. On filme et on envoie sur les réseaux des accidents, voir des viols. Je me souviens, il y a quelques années, des jeunes filles, stagiaires dans une maison de retraite, service Alzheimer, s’amusaient à ridiculiser ces personnes en les filmant. Elles se croyaient intéressantes en communiquant ces images à tous leurs copains sur Internet. Elles n’ont même pas soupçonné qu’il y avait un problème grave comme tant de jeunes qui disent : « Oh, c’était pour rire ! » Il y a une forme d’inconscience qui tourne en violence quand ça ne marche pas comme ils veulent.
Il est un fait, tous nos jeunes aspirent à être aimés, à être reconnus et valorisés pour ce qu’ils sont et, ils attendent que les adultes les prennent plus au sérieux. Je mesure les conflits qui peuvent exister entre les parents et les ados en pleine croissance ! Ça demande écoute réciproque, patience, et partage de l’expérience des adultes et la nouveauté des jeunes.
Je dirai malheureusement notre société fonctionne tout autrement : elle est régie par les lois économiques, les rapports de forces et d’intérêts. Et là il n’y a guère de place au sentiment, à la considération et à l’amour. La violence prend de plus en plus de place dans toutes les revendications. N’y a-t-il pas d’autres solutions pour se faire entendre et pour exister que la casse et la destruction. En aucun cas ça ne peut pas être une perspective de changement.
Chrétiens, depuis notre tendre enfance, nous avons appris que Dieu est Amour et que la vocation de tout Homme est d’aimer et d’être aimé comme Dieu nous aime. A tous ceux qui ne savent plus très bien pourquoi ils sont sur terre, je leur dis : nous sommes là pour apprendre à aimer, à goûter la joie de vivre et à connaître, au terme de ce long apprentissage, les bienfaits de l’Amour. Dans sa lettre aux Corinthiens, l’apôtre Paul dit : « J’aurais beau tout connaître, tout partager, tout endurer, s’il me manque l’amour, je ne suis rien ».
La drogue, la délinquance, la folie, le suicide, tous les extrémismes ne sont-ils pas la conséquence du manque de dialogue, d’Amour ? Devant ce douloureux naufrage, on cherche obstinément la boîte noire de l’accident. Résultat, on retrouve le manque d’amour : celui qui n’a pas su ou pu recevoir l’amour comme celui qui n’a pas su ou pu le donner. N’oublions pas qu’on ne naît pas violent, délinquant, mais on le devient par manque de chaleur humaine, de considération.
A tous les écorchés de la vie, Jésus apporte la vraie libération au risque de ne pas bien se faire comprendre et d’y laisser sa vie lorsqu’ils veulent le précipiter dans l’escarpement de Nazareth. En quelque sorte, Jésus en a assez de tous ces faux semblants, de tous ces enfermements, de tous ces rajouts à la loi de Moïse. Il veut donner un souffle nouveau à la foi au Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Il veut que ces concitoyens soient des Hommes libres et responsables, qui n’ont pas peur de s’investir pour la paix et la justice. Comme le saint pape Jean XXIII, par le Concile de Vatican II, voulait ouvrir la fenêtre pour laisser entrer un peu d’air frais, car l’Eglise en avait bien besoin. Aujourd’hui, tout semble bien loin. Au lieu d’ouvrir les fenêtres, certains courants dans l’Eglise se replient frileusement sur « les certitudes » comme si on pouvait revenir en arrière.
Interviewé dans La Croix Hebdo du 22 janvier, le Cardinal Jean-Claude Hollerich, archevêque de Luxembourg, disait : « Pour être entendue, l’Eglise doit changer de méthode….Le message de l’Evangile est toujours pertinent, mais les messagers apparaissent dans des costumes des temps passés….c’est pourquoi nous devons nous adapter. Nous devons bâtir une Eglise sur la FOI. Nous savons désormais que nous serons une minorité. Il ne faut ni s’en étonner, ni s’en lamenter. J’ai une douce certitude que mon Seigneur est présent dans l’Europe actuelle. » Il faut bien se mettre devant l’évidence, l’avenir de l’Eglise ne se joue pas seulement dans nos assemblées dominicales, - actuellement réduites à la peau de chagrin - mais là où des hommes, des femmes et des jeunes osent encore prendre la parole pour renverser la machine à rendement, à fric et redonner toute sa place à la dignité et à la grandeur de tout Homme.
L’Evangile de Jésus Christ, avec sa force de contestation, se révèlera toujours plus fort que toutes nos mesquineries, paresse, résignation ou nos manques de courage.
« Jésus, passant au milieu d’eux, allait son chemin. »
François Prêtre retraité
Le système de vannage au Moulin d'Eschviller est envahi par des embâcles et des déchets.
J.A.S
C'est autour de cette magnifique source que le village de Loutzviller s'est construit à l'origine. Il deviendra la grande paroisse où se rattacheront Breidenbach, Olsberg, Rolbing, Opperding, Ohrenthal, Eschviller, Schweyen. Breidenbach avec Olsberg deviendra une paroisse en 1804, Rolbing avec Ohrenthal et Opperding en 1866 et Schweyen en 1899. Eschviller est rattaché à Volmunster en 1804.
J.A.S.
Un couple de Highland Cattle, observant les randonneurs, un dimanche après-midi sur le sentier des moulins de la Schwalb.
Qui a retourné et descendu le panneau? Depuis les camions empruntent la route d'Eschviller et défoncent les accotements lors des croisements de véhicules.
Évangile de Jésus Christ selon St Luc 1 1–4; 4 14–21
« Beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, d’après ce que nous ont transmis ceux qui, dès le commencement, furent témoins oculaires et serviteurs de la Parole. C’est pourquoi j’ai décidé, moi aussi, après avoir recueilli avec précision des informations concernant tout ce qui s’est passé depuis le début, d’écrire pour toi, excellent Théophile, un exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as entendus. En ce temps-là, lorsque Jésus, dans la puissance de l’Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région. Il enseignait dans les synagogues, et tout le monde faisait son éloge. Il vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre ».
Peu de temps après son baptême, Jésus commence à enseigner en Galilée. « Sa renommée se répandit dans toute la région ». Ce jour-là, il vint à Nazareth, son village où il a grandi. Comme il en a l’habitude, il va à la synagogue et se lève pour faire la lecture du prophète Isaïe où il est dit : « L’esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu’ils sont libres, et aux aveugles qu’ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le Seigneur…..Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Ecriture » Ce verset met en lumière son « Ordre de mission » reçu par son Père.
En écoutant Jésus proclamer ce texte, nous pouvons déjà imaginer son grand amour pour les Ecritures. Qu’en est-il pour nous ? Aujourd’hui, ce même Christ souhaite nous donner le goût : à aimer lire et à méditer la Bible avec soin. Il est indispensable que toute prière, tout témoignage et toute prédication s’appuient sur la Parole de Dieu. Elle est au cœur de nos célébrations. Et cette Parole doit être accueillie avec le même respect que l’Eucharistie. « Lorsque nous commençons à consommer la Parole de Dieu, nous commençons à grandir spirituellement. » Joyce Meyer
Le Christ a une Bonne Nouvelle à nous annoncer : l’Ecriture devient Parole Vivante quand elle est proclamée. C’est une bonne nouvelle pour les pauvres et les exclus de tous les temps. C’est une annonce de libération et de guérison. Jésus s’intéresse, hier comme aujourd’hui, aux sans voix, aux délaissés, aux étrangers, aux malades et aux pécheurs que nous sommes. Alors, n’ayons pas peur de nous tenir devant lui pour nous reconnaître, à notre tour, petits, démunis et souvent aveugles. C’est ainsi que nous pouvons accueillir la libération que le Christ est venue apporter et en être ses messagers dans le monde d’aujourd’hui.
Deux mille ans après, le mal, les injustices, les souffrances de toutes sortes sont toujours là. Des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants sont profondément meurtris par des catastrophes : nouvelle éruption volcanique aux îles TONGA, frappées par Tsunami et coupées du monde, la pandémie qui sévit partout dans le monde. Et bien sûr, nous n’oublions pas ceux et celles qui sont victimes de la haine et de la violence des hommes. Et même tout près de nous, des personnes peuvent être en grande difficulté et ne pas avoir de quoi se nourrir. Quand nous voyons tant de malheurs, nous risquons de nous sentir dépassés. Et beaucoup en viennent à se poser la question : « Où est-il cet aujourd’hui de la bonne nouvelle ? »
Pour répondre à cette question, il suffit de regarder les nombreux témoignages vécus autour de nous et dans le monde : cette bonne nouvelle, nous la voyons se concrétiser dans cet immense élan de générosités des chrétiens et des non-chrétiens à l’égard de ceux qui ont tout perdu. Elle est aussi à l’œuvre quand nous allons visiter un malade sur son lit d’hôpital, quand nous partageons avec celui qui a faim.
Il nous appartient de faire en sorte, que cette Parole de Dieu se réalise aujourd’hui dans nos divers milieux de vie. C’est l’Esprit de Dieu qui nous rend sensible à la misère de ceux qui nous entourent – il n’y a pas que la misère matérielle, il y a aussi la misère morale, spirituelle. Et si cette Parole de Dieu se réalise dans nos vies, elle devient « lumière pour nos pas »
Cette Parole, c’est AUJOURD’HUI qu’elle s’accomplit. Dans les évangiles, le mot aujourd’hui donne une dimension d’un Dieu toujours présent dans l’actualité de nos vies.
- Dès la naissance de Jésus : « Aujourd’hui, vous est né un sauveur ». – A son baptême : « Tu es mon fils, Aujourd’hui je t’ai engendré. » - A Zachée : « Descends vite, il me faut Aujourd’hui demeurer chez toi. » - Dans le Notre Père : « Donne-nous Aujourd’hui notre pain de ce jour » - A Pierre : « Aujourd’hui tu m’auras renié trois fois. » Et à celui qui est exécuté en même temps que lui : « Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis. »
Et c’est encore Aujourd’hui, ce 23 janvier, qu’il est à l’œuvre parmi nous dans cette eucharistie, par sa Parole et par son Pain de Vie qui nourrissent notre foi et nous font grandir en Humanité.
François Prêtre retraité
André Arnet est à la tête du moulin de Volmunster depuis 1980. Il est aidé par son fils Jean-François. Son épouse Marie-Thérèse a commencé une nouvelle activité en 2000 avec la fabrication de pâtes (200 kg par jour) et tient un magasin des produits du terroir. Elle utilise deux sortes de farines pour sa quinzaine de variétés de pâtes. Une presse et une armoire de séchage ont été installées dans un local de l’ancienne dépendance agricole où Marie-Thérèse Arnet s'est lancée dans la fabrication des « Nouilles bien de chez nous ». Pour donner le goût des pâtes que faisaient nos-grands-mères, elle rajoute à la semoule de blé dur, des finots de froment, des oeufs frais et du sel. « Du moment que je rajoute des finots de froment, ce ne sont plus des pâtes, mais des nouilles d’après le service des fraudes. » nous explique la meunière. André Arnet, faisant partie des quatre derniers meuniers de Moselle est fier de la création de ce nouveau produit du terroir du Bitcherland.
Il a obtenu le label MOSL.
J.A.S.
Quel plaisir de marcher le long d'un ruisseau qui murmure et serpente au milieu des arbres!