Volmunster comme la Moselle et la Lorraine a voté NON en majorité, elle veut garder la gare de Louvigny fréquentée par 600 000 voyageurs.
Nombre d’électeurs: 616
Nombre de votants: 58 9,42%
Bulletins nuls: 2
OUI: 10 17,86%
NON: 46 82,14%
Mairie de Volmunster
Mairie de Volmunster
58% de Non : Jean-Pierre Masseret va abandonner le projet Vandières
La consultation sur la construction de la gare de Vandières a
mobilisé à peine 10% des électeurs et le Non a obtenu près de 58%
(chiffres provisoires). Même si ce résultat n'engage pas le conseil
Régional de Lorraine qui se prononcera le 27 février, Vandières ne sera probablement pas construite d'après FR3
Certains diront qu'il a trouvé l'alibi en or pour ne pas faire la gare d'interconnexion TGV-TER de Vandières (54) alors que rien ne l'en empêchait le financement étant trouvé.
Dimanche 1er février 2015, les électeurs lorrains non seulement ne sont sont pas mobilisés (90% d'abstention) mais ils ont en plus rejeté le projet en votant non à 58% (chiffres provisoire fournis par le Conseil régional). Même s'il n'est pas formellement engagé par ce scrutin, Jean-Pierre Masseret le président PS du conseil régional de Lorraine qui a porté la campagne, avait dit qu'il respecterait le vote des lorrains. Il devrait donc demander à sa majorité de renoncer au projet, en séance plénière, le 27 février prochain.
Et en toute logique, la gare de Vandières ne devrait pas voir le jour sauf coup de théâtre de dernière minute. Dans ce dossier ultra-politique, rien ne semble impossible depuis 15 ans…
Mais dès le soir du scrutin sur notre antenne et lundi 2 février sur France Bleu Lorraine, le président PS du conseil régional a finalement annoncé qu'il devait "analyser toutes les situations de façon très fine" et être "sensible et réceptif à ce qui (m')a été dit". Des commentaires immédiatement analysés comme un déni du vote des Lorrains par les opposants mais également quelques pro-Vandières.
Des commentateurs qui y voient la volonté de construire une seconde gare TGV à Vandières dont les infrastructures et aménagements annexes sont chiffrés à 150 millions d'euros non provisionnés et qu'il faudra bien trouver quelque part. Et cela alors que le fret TGV qui n'existe pas condamne probablement l'actuelle gare TGV de Louvigny à devenir une friche ferroviaire.
Dimanche 1er février 2015, les électeurs lorrains non seulement ne sont sont pas mobilisés (90% d'abstention) mais ils ont en plus rejeté le projet en votant non à 58% (chiffres provisoire fournis par le Conseil régional). Même s'il n'est pas formellement engagé par ce scrutin, Jean-Pierre Masseret le président PS du conseil régional de Lorraine qui a porté la campagne, avait dit qu'il respecterait le vote des lorrains. Il devrait donc demander à sa majorité de renoncer au projet, en séance plénière, le 27 février prochain.
Et en toute logique, la gare de Vandières ne devrait pas voir le jour sauf coup de théâtre de dernière minute. Dans ce dossier ultra-politique, rien ne semble impossible depuis 15 ans…
Mais dès le soir du scrutin sur notre antenne et lundi 2 février sur France Bleu Lorraine, le président PS du conseil régional a finalement annoncé qu'il devait "analyser toutes les situations de façon très fine" et être "sensible et réceptif à ce qui (m')a été dit". Des commentaires immédiatement analysés comme un déni du vote des Lorrains par les opposants mais également quelques pro-Vandières.
Des commentateurs qui y voient la volonté de construire une seconde gare TGV à Vandières dont les infrastructures et aménagements annexes sont chiffrés à 150 millions d'euros non provisionnés et qu'il faudra bien trouver quelque part. Et cela alors que le fret TGV qui n'existe pas condamne probablement l'actuelle gare TGV de Louvigny à devenir une friche ferroviaire.
d'après FR3 Lorraine
Vu que ce n'était qu'une consultation, le conseil régional n'a pas besoin de suivre le résultat du vote du 1er février 2015. "Si le Conseil Régional ne la suit pas, les dépenses occasionnées pour cette consultation ont été inutiles, alors que toutes les municipalités doivent veiller à ne pas avoir des dépenses futiles. C'est le Conseil régional qui a rendu la gare de Bitche inutile. Pour l'instant, les usagers doivent se déplacer à Strasbourg ou à Louvigny pour prendre le TGV. Avec les dépenses prévues de la future gare de Vandières, on pourrait rénover de nombreuses lignes TER. C'est d'ailleurs la politique des élus alsaciens ." nous communique un maire bitcherlandais.
Vu que ce n'était qu'une consultation, le conseil régional n'a pas besoin de suivre le résultat du vote du 1er février 2015. "Si le Conseil Régional ne la suit pas, les dépenses occasionnées pour cette consultation ont été inutiles, alors que toutes les municipalités doivent veiller à ne pas avoir des dépenses futiles. C'est le Conseil régional qui a rendu la gare de Bitche inutile. Pour l'instant, les usagers doivent se déplacer à Strasbourg ou à Louvigny pour prendre le TGV. Avec les dépenses prévues de la future gare de Vandières, on pourrait rénover de nombreuses lignes TER. C'est d'ailleurs la politique des élus alsaciens ." nous communique un maire bitcherlandais.
