Cinq carences pour ceux qui ne mangent pas des repas équilibrés
Nos grands-parents ou de nos arrière-grands-parents mangeaient régulièrement du bouillon de boeuf ou de poule, très riches en collagène et en minéraux. Ils mangeaient mieux sans le savoir.
Photo DR
Ils consommaient davantage de légumesfrais…
Aujourd’hui, nous mangeons trop de sucre, trop de sel, de mauvaises graisses, de conservateurs, de pesticides
L’agriculture intensive a considérablement appauvri nos aliments en nutriments essentiels.
La vie moderne a remplacé la vie aux champs, nous privant ainsi de la principale source de vitamine D : l’exposition au soleil..
Les cinq carences les plus courantes sont :
La vitamine D (80 % de la population française est en déficit de vitamine D et 50 % des personnes ont unecarence en vitamine D)
Les omégas-3 (la proportion idéale d’oméga-3 / oméga-6 devrait être de 1:4 dans notre alimentation. Or bien souvent, nous sommes plus proches de 1:30 !)
La choline (une vitamine du groupe B, soluble dans l’eau. C'est un précurseur de l’acétylcholine, un neurotransmetteur nécessaire pour le fonctionnement de la mémoire et le contrôle des muscles)
Le magnésium (75 % de la population serait en déficit de magnésium)
L'iode (selon l'OMS, 29 % de la population mondiale serait exposée un risque de carence en iode)
Les compléments alimentaires comme leur nom l'indique, ne sont que des “compléments”.
Ils nous accompagnent dans le cadre d'une reprise en main alimentaire, sportive ou psychologique et doivent s’inscrire dans une démarche globale.
Leur consommation permet d’apporter des réponses adaptées en cas d’inconfort ou pour soutenir bien-être et santé.