Pour la 35 ème assemblée générale le président Joseph Meyer se retrouve avec 4 guides en moins suite à deux années vécues dans des conditions inimaginables. C’est pourquoi le président propose d’ « assurer désormais les permanences pour 2 jours de suite, afin de ne pas être sollicité trop souvent. De plus, la venue de nouveaux guides est urgente. »
Reprise des activités
Depuis le premier avril, les amis du Moulin d’Eschviller assurent à nouveau les permanences durant les week-ends et en semaine durant les vacances d’été. La fête des saveurs sera organisée le dimanche 10 juillet et celle de la fête de la pomme le dimanche 9 octobre. Au mois de décembre seront à nouveau assurés les ateliers Bredle pour les élèves des écoles maternelles et élémentaires.
L’initiation au respect l’environnement
David Suck, président de la communauté des communes du Pays de Bitche : « Le moulin d’Eschviller a une grade histoire, il est le fruit d’une volonté populaire, un chemin honorable à l’époque afin de faire connaître ce qui se passe en milieu rural. Actuellement; grâce à trois associations de bénévoles, il est utilisé pour l’initiation au respect l’environnement, ce qui est très important. »
Travaux d’extension
"Les travaux ont été revus en concertation avec le gestionnaire actuel et les associations, mais en assurant le maintien de l’architecture. Une restructuration du rucher pédagogique est en cours. Chacun sera responsable de son espace, ce qui n’empêche pas les mutualisations pour créer un laboratoire fruits et miel et un circuit court pour les producteurs. » indique David Suck
Des animations de passionnés
David Suck rappelle que « Le site du moulin d’Eschviller est un outil modèle de développement social de la communauté des communes. Nous devons nous adapter en fonction des bénévoles et des permanents qui doivent être convaincus de leur rôle. C’est pourquoi il faut mettre les moyens pour exploiter ce site au vu de l’investissement qui y est consenti. Je vous renouvelle mon soutien et ma reconnaissance. Nous vivons une période transitoire. »
Joseph Antoine Sprunck