A l’initiative de Dominique et de Pascal Stauter, Jean-Claude Gianadda est venu pour la troisième fois en l'église
L'abbé Stéphane Pontello présente Jean-Claude Gianadda
d'Ormersviller pour chanter sa foi en Dieu et transmettre des messages d’amour, de paix, de joie, de justice et de partage.
C’est avec sa guitare, et une vidéo dont les images correspondent aux paroles qu’il a interprété ses textes avec beaucoup de sincérité. Très vite, le public a chanté avec lui. On a eu l’impression qu’une très grande chorale l’accompagnait. Certains fans connaissaient toutes les paroles par coeur. Avec ses commentaires, il a su captiver son auditoire. Pour lui, « ce qui est important c’est chanter l’amour entre les hommes.» Grâce aux chansons, il a su véhiculer une émotion et un message. Quand les deux sont réunies, les auditeurs sont touchés, d’autant plus qu’il a interprété ses textes avec beaucoup de sincérité.
La persécution des chrétiens d’Orient
Cette année il a beaucoup parler «des chrétiens d’Orient persécutés depuis plusieurs années dans l’indifférence générale. Ne les oublions pas, martèle-t-il, car c’est un véritable génocide qui se déroule sous nos yeux. Daech pratique une barbarie absolue. C’est pourquoi la communauté internationale doit intervenir, c’est urgent. Il faut porter secours à toutes ces minorités religieuses ou ethniques.»
Plaidoyer pour la paix
De son éternelle voix grave et sensible, il évoque un subtil croisement entre Pierre Bachelet et Daniel Guichard, l’artiste nourrit l’ambition de s’adresser à tous. Il est l’héritier d’une variété exigeante qui n’élude rien de la noirceur de l’homme. Comme dans le très beau Casque bleu, vibrant plaidoyer pour la paix et l’amour, ou dans ses chansons ou il évoque l’Afrique, les gitans, les chrétiens d’Orient…
Joseph Antoine Sprunck
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