Marie-Anne Fabing, née Frumholtz de Nousseviller-lès-Bithe, a invité ses collègues du Centre hospitalier de Sarreguemines et de la Pharmacie Sainte-Marie de Bitche, amis et famille pour fêter son départ en retraite pour une vie professionnelle de 43 ans. Avec son CAP de couture en poche, elle est embauchée en 1972 comme employée de bureau chez Michelin à Homburg (Sarre). Pour se rapprocher de son domicile, elle réussit à se faire embaucher en 1982 comme conditionneuse à la pharmacie Sainte-Marie de Bitche où elle sera licenciée pour raison économique en 1993.
Anne-Marie Fabing avec ses anciens collègues de la pharmacie Sainte-Marie
et du CHS de Sarreguemines
Elle remplira plusieurs petits contrats, puis elle suit une formation d’aide soignante. Grâce à sa nouvelle formation, elle réussit à se faire embaucher en 1997 au Home de Siersthal et en 2002 au CHS de Sarreguemines où elle vient de prendre sa retraite.
En acceptant la mobilité durant sa vie professionnelle et les petits boulots, elle a réussi à avoir une vie professionnelle riche en contacts. Marie-Anne veut mener une retraite active en aidant son mari dans l’exploitation agricole, en s’adonnant à son potager et à l’entretien de ses fleurs et en participant à la chorale Saint-Pierre de Volmunster.
Texte de Joseph Antoine Sprunck et photos de Christophe Frumholtz
Anne-Marie Fabing avec ses anciens collègues de la pharmacie Sainte-Marie
et du CHS de Sarreguemines
Elle remplira plusieurs petits contrats, puis elle suit une formation d’aide soignante. Grâce à sa nouvelle formation, elle réussit à se faire embaucher en 1997 au Home de Siersthal et en 2002 au CHS de Sarreguemines où elle vient de prendre sa retraite.
En acceptant la mobilité durant sa vie professionnelle et les petits boulots, elle a réussi à avoir une vie professionnelle riche en contacts. Marie-Anne veut mener une retraite active en aidant son mari dans l’exploitation agricole, en s’adonnant à son potager et à l’entretien de ses fleurs et en participant à la chorale Saint-Pierre de Volmunster.
Texte de Joseph Antoine Sprunck et photos de Christophe Frumholtz