vendredi 1 novembre 2024
C'est la Toussaint aujourd'hui
Les origines de la Toussaint remontent au 4e siècle, avec l'Église d'Orient qui l'a instituée pour célébrer les martyrs le dimanche suivant la Pentecôte. Au 5e siècle, c'est à Rome que se tenait une fête en l'honneur des saints et des martyrs, de la même façon célébrée le dimanche après la Pentecôte. Le pape Grégoire III est le premier, au 8e siècle, à avoir déplacé cette fête au 1er novembre. Mais c'est en 835 que l'un de ses successeurs, Grégoire IV, a définitivement fixé la date au premier novembre.
En France, le 1er novembre est inscrit comme étant un jour férié dans le code du travail (article par l’article L. 3133-1), à l'instar du jour de l'An le 1er janvier ou du lundi de Pâques. Ce n'est qu'au 20e siècle que cette date a pris ce statut, par l'intermédiaire du pape Pie X qui l'a ajoutée dans la liste des huit fêtes chrétiennes. C'est alors qu'elle est devenue une fête chômée.
Wikipédia
Sur mon chemin...
Le bonheur est dans le pré.
Cours-y vite, cours-y vite.
Le bonheur est dans le pré.
Cours-y vite. Il va filer.
Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer.
Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite, dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer.
Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite, sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer.
Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite, sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer.
De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite, de pommier en cerisier, cours-y vite. Il va filer.
Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite. Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a filé !
Extrait de "Ballades du beau hasard"
Paul FORT
(1872 - 1963)
Le très bon conseil d'Anne
Photo DR
20 minutes par jour de jardinage, de marche légère ou de ménage suffisent déjà à blinder le corps contre les maladies.
Et s’il y a bien une maladie contre laquelle l’activité physique est recommandée, c’est le cancer.
Cela on nous le rabâche tout le temps, c’est devenu une banalité. Comme si l’activité physique était une formule magique !
On ne donne jamais la raison scientifique derrière les bienfaits du sport.
Or une fois qu'on a compris pourquoi, on se rend compte que l’activité physique est le remède le plus accessible, le plus efficace pour rester en bonne santé.
Tout se passe dans l’extraordinaire chimie des hormones.
L’activité physique dont on parle n’a pas besoin d’être du sport.
Dans la chimie du corps, les apports bénéfiques du sport, par rapport à une activité modérée, sont marginaux.
Car du moment qu'on s'active un minimum, des réactions chimiques se déclenchent immédiatement en nous.
L’exercice physique va agir plus précisément sur les taux d’hormones. En particulier, l’IGF-1.
L’insuline-like growth factor (facteur de croissance ressemblant à l’insuline) ou IGF-1 est le meilleur ami des tumeurs.
L’IGF-1 est en effet un puissant facteur de croissance des cellules – or les cellules cancéreuses ne sont rien d’autre que des cellules qui ne s'arrêtent pas de croître.
Cette hormone est produite en excès dans le corps en cas :
- De surpoids
- De sédentarité
Quand elle est produite en excès, l’IGF-1 stimule directement les processus qui transforment les cellules saines en cellules cancéreuses.
Il y a plusieurs manières naturelles de ramener les taux d’IGF-1 à des niveaux sains (120–160 ng/ml de sang).
Mais la manière la plus simple reste encore de faire vos 20 minutes d’activité physique modérée par jour.
Cela suffit à baisser le taux d’IGF-1 jusqu’à 20%.
En comparaison, le sport intense n’augmentera ce taux “que” jusqu’à 25%... beaucoup d’efforts pour peu de résultats !
On peut donc observer des résultats spectaculaires déjà avec une promenade.
Les études l'affirment : les individus pratiquant une activité physique modérée ont entre 17% et 24% de risques en moins de développer un cancer du côlon.
Et ce risque diminue en fonction du temps passé à bouger.
Plus on bouge, plus le risque diminue.
Le constat est similaire pour le cancer du sein, avec une réduction de 20%.
De nombreuses publications vont dans le même sens pour d’autres cancers, comme celui de la prostate, des poumons et même du pancréas.
Anne