Photo JAS
Un jour une oie ne se plaisait plus dans la basse cour. Par un bon coup d'aile, elle vola au-dessus de la clôture, puis tout en marchant, elle trouva un ruisseau bien verdoyant qui l'attira. Comme c'est ouvert, je peux sortir comme je veux. Il y a de l'eau et de l'herbe, c'est ce qu'il me faut. Un canard en fit autant et a rejoint l'oie. Comme tous les deux ont déserté, ils s'entendent à merveille et sont restés ensemble et libres.
La liberté est surtout appréciée par ceux qui ont été privés de liberté!
J.A.S.