Ce chant est une belle poésie, qui fait appel à la tendresse des gouvernants pour éviter des guerres entre des hommes qui ne se connaissent pas.
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Crier, j'en appelle (à la tendresse) à la tendresse
Devant ces yeux d'enfant qui ont froid, qui ont faimDites-vous que l'argent vous brûlera les mainsDevant ces présidents qui dirigent le mondeQui jouent au cerf-volant avec toutes leurs bombes
Devant les synagogues, devant les cathédralesIl n'y a qu'un bon Dieu, mais toujours plusieurs diablesDevant ceux qui n'ont rien, devant ceux qui ont toutS'il le faut je veux bien, le chanter à genoux
J'en appelle à la tendresseÀ l'amour, s'il nous en resteJ'en appelle à tous les hommesQue leur (volonté) soit bonne
J'en appelle (à la tendresse)En plein cœur, je vous adresseUne chanson d'espoir en sommeJ'en appelle à tous les hommes
Au front des monuments, n'écrivez pas l'histoireUn soldat trop vaillant, c'est un ami qui partAu nom de quelle folie, au nom de quel pouvoirOn les envoie cueillir, les lauriers de la gloire
J'ai le cœur d'une femme et les mots pour le direIl y a trop de larmes dans ce monde en délireDites-moi si je mens, dites-moi si j'ai tortS'il le faut je veux bien, vous le chanter plus fort (avec vous)
J'en appelle (à la tendresse)À l'amour, s'il nous en resteJ'en appelle à tous les hommesQue leur volonté soit bonne
J'en appelle (à la tendresse)En plein cœur, je vous adresseUne chanson d'espoir en sommeJ'en appelle à tous les hommes
J'en appelle (à la tendresse)J'en appelle (à la tendresse)J'en appelle (à la tendresse)J'en appelle (à la) tendresse
Source : Musixmatch