vendredi 17 août 2018

Beaucoup de pèlerins à la chapelle Saint-Joseph


 Par un temps clément, l’association les Amis de la chapelle Saint-Joseph, présidée par Gilbert Zahm a accueilli plus de 1 600 pèlerins  pour la fête de l’Assomption et de   l’amitié franco-allemande.

Photos Joseph Antoine Sprunck
Pour la fête de l’Assomption, plus  de 1 600 personnes du Bitcherland  et de la proche Allemagne sont venus  à pied, en voiture    en pèlerinage à la Chapelle Saint-Joseph à Ormersviller. Ils ont assisté le matin  

Le curé Stéphane Pontello prononce les mots d'accueil.

à l’Eucharistie concélébrée par le curé de Volmunster, Stéphane Pontello et  l’abbé  Formose Mendy, assistés du diacre Bernard Dillenschneider qui a traduit en allemand à plusieurs  reprises les interventions du prêtre. 

Le diacre Benard Dillenschneider  traduit en allemands les différentes interventions.
La chorale Saint-Pierre de Volmunster, sous la direction de Jean-Marie Langbour, a animé la messe avec des chants en français, allemands et en latin afin que les pèlerins de France et d’Allemagne puissent participer aux différents chants. A 15h, les vêpres ont été célébrées à la chapelle pour les pèlerins  de l’après-midi.









Un repas pour 700 personnes


Dans un temps record, les repas ont été distribués  en self service grâce à une organisation exceptionnelle mise en place par une soixantaine de bénévoles. Près de 700 pèlerins ont partagé le repas du pèlerin sous le chapiteau et à l’extérieur. 













Delphine et Jean Schaff, ancien directeur d'école à Ormersviller, avec Roland Nicklaus avec restaurateur.  


D’autres se sont contentés de grillades ou ont fait pique-nique.   Beaucoup   ont profité de cette grande fête   pour se revoir et se rencontrer. Avec la création de ce pèlerinage en 1980  les manifestations transfrontalières se sont multipliées et ont   rendu l’amitié franco-allemande plus forte. D’ailleurs ce pèlerinage a joué un très grand rôle  dans le rapprochement des élus  français et allemands  de part et d’autre de la frontière.  

Joseph Antoine Sprunck