mardi 8 septembre 2015

Affluence aux portes ouvertes de la nouvelle caserne de Volmunster

Pour cette première fête dans la nouvelle caserne, les sapeurs-pompiers ont accueilli un public nombreux. Les habitants de Volmunster et des villages des environs ont en profité pour se retrouver, mais surtout pour visiter cette nouvelle caserne inaugurée la veille. Alors que tous les  véhicules étaient exposés à l’extérieur, le garage était entièrement occupé à midi où 300 repas ont été servis.










Beaucoup d’anciens vétérans ont tenu à déjeuner dans cette nouvelle caserne.  

Pascal Klein, Joseph Meyer, François Seibert et Joseph Faber (A partir de la gauche)

Nous avons y rencontré trois anciens chefs de corps: Joseph Faber, François Seibert  et Joseph Meyer. Le capitaine  Pascal Klein, chef des pompiers, a accompagné Joseph Faber, 86 ans pour la visite du nouveau centre d’intervention de secteur.  Le plus ancien vétéran était 


Mélanie et Ernest Keller et Antoine et Eugénie Meyer (à partir de la gauche
)
Ernest Keller, 89 ans qui était accompagné d’Antoine Meyer 85 ans. Toute l’après-midi les tables étaient prises d’assaut. 

Visite des lieux et manoeuvres


Ces portes ouvertes du nouveau Centre d’intervention de secteur de Volmunster, sous la direction du Capitaine Pascal Klein, organisées conjointement avec l’amicale des sapeurs-pompiers présidée par Raphaël Dahlem, ont eu un succès inattendu.  



Les visiteurs en ont  profité pour  visiter  surtout toutes les pièces du premier étage avec les bureaux, la salle de réunion les chambres de repos, les bureaux, la salle de sport.  Et au rez-de-chaussée les vestiaires, le standard, la cuisine, le réfectoire, le foyer, le standard, 


et le matériel exposé dans la cour et à assister aux différentes démonstrations concernant les risques domestiques, les secours, une manoeuvre sur une voiture accidentée  et pour terminer une autre avec les jeunes sapeurs-pompiers. Pour tous ceux que nous avons rencontrés « Il était temps que nos sapeurs-pompiers volontaires aient cette caserne fonctionnelle à leur disposition, car dans l’ancienne ils se marchaient sur les pieds, tellement ils étaient à l’étroit. » 

Texte et photos de Joseph Antoine Sprunck