samedi 18 juillet 2015

Succès des épreuves du Grand Prix


C’est sous le soleil et une chaleur supportable que l’association des éleveurs de chevaux du Bitcherland, présidée par  Myriam Serandour, a organisé samedi une grande fête du cheval  au Moulin d’Eschviller.   Le samedi matin dès 9 h ont commencé les épreuves de dressage pour les cavaliers du secteur en commençant par les plus jeunes pour finir avec des cavaliers de niveau régional., L’après-midi à partir de 14 h se sont déroulées les épreuves de dressage classique pour terminer avec  une démonstration de dressage en liberté et d'équitation western.


Le classement  du Grand Prix

Club 3 Grand Prix
1 er Maxime Ernewein avec Pansy 71 points
2 ème Judith Colasse avec Ideology 69 pts
3 ème Emma Wernert avec Rehli M 68,33 pts
Club 3 Préliminaire
1 er: Audrey Bethune avec Légende de printemps 64,28 pts

Club 2 Grand Prix

1 er Marion Merandi avec Lucifer du Pomarez*Midi 71 pts
2 ème Perrine Niro avec  Kid Amour*Midi 70,75 Pts
3 ème Perrine Niro avec Pharaon des Hit*Mili 68,91 pts

Club 1 Grand prix
1 er Anne Wernert avec Rehli M 68,75 pts
2 ème Camille Bach avec Pansy 63,25
3 ème: Jennifer Pierrot avec Grosso Z Gisa 58,75 pts


Jeux de relais à cheval

Dimanche matin, suite à des carrousels pour ouvrir la journée, des pony games ( jeux de relais par équipes de 4 couples cavalier-cheval), une démonstration de débardage à cheval, effectuée par Frédéric Destailleurs, un forestier local qui travaille  avec le parc régional des Vosges du Nord, puis suivra de dressage en liberté. Suite à la pause de midi, des démonstrations de saut d'obstacle, de TREC (technique de randonnée en compétition), de voltige en équipe et individuel, de dressage en liberté et d'équitation western, une course de barrel racing (discipline western) ainsi qu'une course de shetlands et des carrousels pour clore la journée. Un village médiéval sera ouvert à tous pendant tout le week end avec démonstration de la vie à l'époque et des jeux proposés aux visiteurs. 
 Habitation médiévale

Photos et texte de Joseph Antoine Sprunck