On sait que le ginkgo biloba a survécu aux ères glaciaires, à l’extinction des dinosaures, et plus récemment à l’explosion et aux radiations de la bombe nucléaire d’Hiroshima. Cette longévité et sa résilience à travers les âges ont nourri de nombreux mythes autour de cet arbre…
Un arbre majestueux qui peuplait déjà notre planète il y a 270 millions d’années
Il est aujourd’hui sacralisé dans certaines cultures asiatiques. Originaire de Chine, le ginkgo commence à être utilisé en Asie pour ses vertus à la fin du XVIème siècle comme en témoignent les ouvrages scientifiques de Li Shinzen.
Ce n’est que dans les années 2000, que les Européens comprennent tous les bénéfices santé que la science moderne peut en tirer. Au fil du temps les chercheurs du monde entier ont cherché à définir les applications santé que l'on pouvait tirer du ginkgo C’est ainsi qu’on a découvert que ses feuilles étaient particulièrement riches en flavonoïdes et en terpénoïdes, des molécules particulièrement intéressantes pour leurs propriétés anti-oxydantes.
D’abord étudié pour la digestion… Puis pour lutter contre le déclin cognitif…il est maintenant reconnu pour sa capacité à contribuer à une bonne circulation sanguine.
Voilà les résultats concrets obtenus aux termes de nombreuses études :
le ginkgo fluidifie la circulation sanguine, facilitant ainsi son passage dans les petits vaisseaux sanguins et les veines notamment dans les jambes. Les propriétés antioxydantes des flavonoïdes contenues dans le ginkgo protègent les vaisseaux sanguins et les veines du vieillissement accéléré provoqué par le stress oxydant. Grâce à cette protection, les parois veineuses sont plus résistantes et moins sujettes à la dilatation qui ralentit le retour veineux.
Le ginkgo biloba va soutenir la microcirculation, c’est-à-dire le flux sanguin dans les vaisseaux les plus petits.
Le ginkgo biloba grâce à ses antioxydants, va contribuer à protéger les cellules qui constituent les parois des veines. De manière globale, il contribue à renforcer les défenses de l'organisme face aux agressions extérieures qui viennent impacter le réseau circulatoire.
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